Le sous – directeur général de l’UNESCO pour une coopération franche avec l’INPP
Les Ministres de l’Emploi, Travail, et Prévoyance Sociale, M. Modeste Bahati Lukwebo, Chelo Lotsima de l’Enseignement Supérieur, Universitaire et Recherche Scientifique et Maker Mwangu Fuamba de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel ont accompagnés jeudi dernier, le sous – directeur général de l’UNESCO (Organisation des Nations pour l’Education, la Science et la Culture), M. Tang Qian aux installations de l’Institut National de Préparation Professionnelle (INPP), situées à la 11ème rue, dans la commune de Limete.
En effet, l’accueil réservé par l’Administrateur – directeur général de cette institution publique, M. Maurice Tshikuya Kayembe était très chaleureuse. Ces trois membres du gouvernement Matata Ponyo et M. Tang Qian n’ont pas caché leurs admirations en visitant tout les bâtiments, ateliers et salles de classe où des formateurs chevronnés dispensaient les cours.
Les sous – directeur général de l’UNESCO s’est dit satisfait des réalisations de l’INPP, en matière de formation professionnelle, en faveur de la jeunesse de la République Démocratique du Congo. Il a affirmé avoir fait une expérience, intéressante au cours de cette visite qui lui a permis d’apprécier le travail magnifique réalisé par cet alma mater. » L’UNESCO est votre partenaire « , a dit M. Tang Qian, qui a rassuré que la collaboration va continuer avec l’INPP à travers des discussions interministérielles, celles – ci vont dégager des voies pour de interventions de l’UNESCO en faveur de la formation professionnelle et de l’enseignement technique.
De son avis, le Ministre Bahati Lukwebo a indiqué qu’il était normal que l’UNESCO vienne voir l’enfant dont il est l’un des géniteurs 50 ans après. Ce dernier a précisé que l’UNESCO a promis un appui à l’INPP pour que celui – ci rayonne sur toute l’étendue du pays, avant de faire remarquer que le sous – directeur de l’UNESCO a apprécié l’efficacité et les performances de l’INPP.
A son tour, l’Administration directeur général de l’INPP, M. Maurice Tshikuya a exhorté l’UNESCO à venir investir davantage dans son école pour la survie même de la nation congolaise. Selon lui, il faut combattre la pauvreté à la source, dans les familles par la création des emplois. Il estime que la RDC souffre de marque de compétences techniques dans une société qui compte peut d’élites. L’ADG Maurice Tshikuya Kayembe soutient qu’il faut renverser les tendances en créant des compétences scientifiques et techniques pour mener la RDC vers l’émergence.
Le numéro un de l’INPP a affirmé que son établissement a pris 50 ans après des dimensions dans le développement des compétences de la population active. Ses dimensions s’inscrivent selon les statistiques, au nombre des personnes formées chaque année par l’INPP. En fin 2012, à titre illustratif, l’INPP a formé 30.000 personnes contre 2500 à la création le 29 juin 1964, grâce au partenariat entre BIT, le PNUD et l’UNESCO, avec le quitus du gouvernement de la RDC. Des statistiques jamais atteintes dans le passé.
A cela s’ajoute également l’extension de l’INPP vers l’arrière – pays où plus 25 centres sont crée, en plus de grandes directions provinciales et Kinshasa, de Lubumbashi et de Boma. L’INPP bénéfice en outre de l’appui des partenaires qui ont retrouvé une confiance à l’Institut et s’hésitent plus à apporter leurs aides inconditionnelles, techniques, voire financier.
Tout cela permet aujourd’hui à l’INPP de renforcer et de poursuivre sa mission de la qualification de la population active, dans le but de créer une classe moyenne productive et d’un marché local de consommation. C’est donc une voie obligée pour lutter contre la pauvreté, le chômage par la transformation des ressources naturelles en richesses. 50 ans après donc, l’UNESCO n’a pas tort de s’estimer heureuse face à la croissance utile d’un enfant qui est devenu adulte. Les adieux du directeur de l’AFD-RDC
Le directeur de l’Agence France de Développement en RDC, Christian Yoka, est fin mandat. A cette occasion, l’INPP lui a organisé, vendredi 12 juillet 2013, une cérémonie d’au revoir.
Louant les qualités intrinsèques du directeur sortant de l’AFD-RDC, l’ADG Maurice Tshikuya Kayembe a révélé à l’ensemble du personnel que c’est lui qui a ouvert à l’INPP les portes de la coopération avec l’AFD avec l’octroi par la France d’une enveloppe de 6 millions d’Euros.
Dans sa réponse, Christian Yoka a qualifié de positive la coopération, depuis trois ans, de son institution avec INPP. » Le pari a-t-il dit en substance, est une réussite, et l’AFD ne regrette pas d’avoir investi à l’INPP, d’autant plus que l’institution marche satisfaction. L’INPP vit ce jour l’aboutissement d’un risque pris ensemble « . Christian Yoka a recommandé aux agents et cadres de l’INPP de continuer dans la même lancée pour le pérennité de l’esprit d’efficacité et de la recherche des résultats.
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