Au moment où l'exposition Yango prend fin à la Halle de la Gombe, Kiripi Katembo, photographe auteur de cette exposition nous livre le bilan.
Considérer comme un de plus grand photographe de création de la RDC, Kiripi Katembo Siku vient de présenter pendant un mois soit du 15 Mai au 15 juin son exposition dénommée Yango «C'est ça» à l'institut français halle de la Gombe, dans ces photos de création Kiripi observe la vie dans les flaques d'eau. Quand l'eau s'immobilise, le photographe saisit le petit théâtre kinois avec son objectif, Trois ans de travail pour un portrait à l'envers de Kinshasa.
« Au regard de l'engouement et des réactions des visiteurs, l'exposition a était un succès dit-il ».
Pour Kiripi Katembo, ces photos sont juste une penser très proche de la réalité des différentes villes où il passe plus de temps, le milieu où il vie, au delà de ce qu'ont peux appeler la misère. Kiripi interroge la manière dont la ville ce développe, la manière dont Kinshasa s'urbanise. Le jeune photographe arrête les temps avec une réflexion sur l'environnement et l'homme au cœur de celui –ci, pour Kiripi la photo est comme un livre, un texte ou une peinture où chacun peut interprété ce sa manière. Concernant la photographie de création en RDC Kiripi reste humble et ne veux pas être considérer comme un de plus grand de la RDC malgré que les critiques dissent les contraires, le natif de Goma cherche seulement à arrêter son temps et a donner sa version du monde avec ces photos incomparable. Concernant la nouvelle génération,
«Il ya beaucoup des photographes mais dans la diversité de la photographie et c'est important que ça soit la base de toute formation en photographie insiste-t-il»
A la question du succès et de l'appréciation du travail fait par les publics, Kiripi dit il est très contant et en même temps il a très peur parce qu'il faut continuer à travailler, et travailler pour continuer à être apprécier. Pour Kiripi Kinshasa peut- être considérer comme plus culturel que minière, il ya plus a avoir et a gagner dans la culture à Kinshasa que dans la mine donc si seulement si les autorités s'intéresser et investissez dans la culture s'interroge-t-il ? C'est le seule secteur qui donne espoir, joie, enthousiasme et qui ne viole pas ou ne tuer pas non plus. Formé à l'école de beaux-arts de Kinshasa, Kiripi Katembo a été peintre avant de s'intéresser à la vidéo et à la photographie et aussi la production des projets
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