AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l'actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l'actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger | portail sur l'actualité africaine,Afrique,actu, Actualité de l'Afrique et de la RDC,de l'Afrique et du Maghreb offre un journal quotidien contenant des informations sur l'actualité, la culture, l'économie, le sport, les sociétés de 56 pays africains, Congo actualités, jobs, emploi, sport, musique, culture, afrique, kinshasa , Kabila , Mobutu , tshisekedi, werrason, coopération , République Démocratique du Congo,opposition,résistance,alliance,mouvement associatif, économie, | |
Kigali suspecté dans le braquage de la BIAC à Goma Dec 19th 2012, 11:42 Crée le 19-12-2012 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 19-12-2012 - 11H20 PAR: LE POTENTIEL Un million de dollars américains emportés, des casses et autres dégâts matériels, tel est le bilan provisoire d'un hold-up opéré de manière spectaculaire mardi à Goma. Victime : la BIAC. Suspect numéro un : Kigali. La ville de Goma, dans le Nord-Kivu tarde à se remettre des effets de sa chute orchestrée il y a quelques semaines par le tandem M23/RDF. Malgré le retrait annoncé des troupes de ce duo agissant sous les ordres du régime en place à Kigali, la quiétude des habitants demeure une gageure. La multiplicité des cas d'insécurité individuels et collectifs a créé une sorte de psychose dans la population qui tentait d'oublier le cauchemar vécu. Le dernier cas en date relatif à l'insécurité qui frappe les personnes et leurs biens est celui signalé hier mardi 18 décembre. Il s'agit du braquage de la succursale de la Banque internationale pour l'Afrique au Congo (BIAC) à Goma. Un groupe d'hommes armés s'est introduit dans cette banque et a réussi à mettre la main sur le coffre-fort qui contenait, selon les premières estimations, un million dollars américains. Selon les sources qui ont contacté notre Rédaction en fin de journée, les bandits à main armée ont, après leur forfait, pris la direction de la frontière. Ils ont été tout de suite poursuivis par les forces de l'ordre appelés au secours par le banquier. Alors que ceux-ci pensaient coincer les fugitifs au niveau de la frontière où ils étaient censés s'arrêter pour se soumettre aux formalités d'usage, quelle n'a pas été leur surprise de voir les militaires rwandais en poste ouvrir la barrière, laissant les bandits rentrer allégrement sur le territoire rwandais. Quand les poursuivants se pointent, à leur tour, ils butent sur un mur infranchissable. Quand ils tentent de savoir pourquoi les bandits ont bénéficié d'un sauf-conduit tout aussi automatique qu'inexplicable, motus et bouche cousue du côté des gardes-frontières rwandais. Que peut-on déduire de cette attitude ? Que les braqueurs de la BIAC/Goma ne sont pas les bandits armés ordinaires ou vulgaires. Soit, ce sont des commandos RDF qui ont opéré sans uniforme militaire pour passer inaperçus. Soit ce sont les M23, dont plusieurs témoignages ont dit qu'ils avaient quitté sans jamais partir réellement de Goma et qu'ils se baladeraient en tenue civile dans les rues de la ville. Le braquage de la BIAC/Goma passe pour un acte prémédité qui s'inscrirait dans le cadre d'un plan que seul Kigali peut éluder, lui qui est devenu spécialiste en reniements et autres démentis devant la CIRGL et la communauté internationale sur les forfaits qu'il commet sur le territoire congolais. | |
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