AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l'actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l'actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger | portail sur l'actualité africaine,Afrique,actu, Actualité de l'Afrique et de la RDC,de l'Afrique et du Maghreb offre un journal quotidien contenant des informations sur l'actualité, la culture, l'économie, le sport, les sociétés de 56 pays africains, Congo actualités, jobs, emploi, sport, musique, culture, afrique, kinshasa , Kabila , Mobutu , tshisekedi, werrason, coopération , République Démocratique du Congo,opposition,résistance,alliance,mouvement associatif, économie, | |
Hausse des prix des boissons par les brasseries, le ministre de l'Economie s'oppose à cette augmentation Nov 12th 2012, 12:15 Crée le 12-11-2012 11h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 12-11-2012 - 13H00 PAR: OBSERVATEUR Depuis quelques jours, le marché des biens et services connaît une accélération du rythme de formation des prix, en raison de la hausse des prix des boisons. Dans un contexte de stabilité du taux de change du Franc Congolais par rapport au dollar Us, cette hausse décidée par les sociétés brassicoles a suscité maintes interrogations dans l'opinion et particulièrement auprès des consommateurs qui en font les frais. Il nous revient que le ministre de l'Economie a enjoint samedi 10 novembre les brasseries congolaises à rabattre leurs prix, après une augmentation sensible du coût des boissons en RDC depuis près d'une semaine. Selon Radio Okapi, c'était à l'issue d'une rencontre qui a réuni ce ministère, les brasseries et l'Association nationale des vendeurs de boissons du Congo (Anaveboc). Mieux, le ministre de l'Economie a demandé à ces entreprises de lui accorder dix jours pour trouver une solution à cette question, rapporte Radio Okapi. A l'issue de cette réunion, les trois parties en présence ont convenu que les sociétés brassicoles devraient vendre leurs produits sur base de l'ancienne tarification. Ainsi, la bière doit , en principe, revenir à 1.200 FC (1,30 USD) et non 1 500 FC (1,63 USD) comme exigés depuis quelques jours, et les boissons gazeuses, communément appelées sucrées, à 500 FC (0,54 USD) au lieu de 700 FC (0,76 USD). Mais, il se fait que sur le terrain à Kinshasa les nouveaux prix continuent à être appliqués par les revendeurs. Comme pour dire que la décision du ministre ne connaît pas un début d'application. Il va falloir que l'autorité rectifie son tir. En ce qui concerne Michel Nseka, président de l'Anaveboc, cité par Radio Okapi, il a appelé les vendeurs de boissons congolais à pratiquer l'ancienne tarification. Son appel sera-t-t-il entendu ? Il se veut rassurant : "Une commission ad hoc a été mise en place pour voir dans quelles mesure tenir compte des revendications de chaque partie de sorte que les prix ne bougent pas…. Les brasseurs disent avoir subi le surcoût de beaucoup d'éléments qui entrent dans la structure des prix. Ces éléments peuvent véritablement faire objet de discussion entre eux et le gouvernement …". Naturellement, du coté du ministère de l'Economie l'on souligne que le gouvernement est conscient qu'une hausse du prix des boissons à l'approche des fêtes ne serait une bonne chose. Faut-il encore que cette hausse des prix soit justifiée. Reste à savoir si les sociétés brassicoles se conformeront à cette décision de l'autorité. Quant aux vendeurs de boissons, ils demandent au gouvernement de s'impliquer davantage dans la fixation des prix des produits de consommation. Dans tous les cas, les prix des boisons ne devraient être réajustés qu'après l'introduction d'un dossier documenté sur la structure des prix auprès du ministère de l'Economie. Les sociétés brassicoles ne devaient pas concocter le réajustement des prix de manière unilatérale. La hausse des prix de certains produits et services est soumise à une autorisation expresse du ministère de l'Economie. Didier Munsala Buakasa | |
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