AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l'actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l'actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger | portail sur l'actualité africaine,Afrique,actu, Actualité de l'Afrique et de la RDC,de l'Afrique et du Maghreb offre un journal quotidien contenant des informations sur l'actualité, la culture, l'économie, le sport, les sociétés de 56 pays africains, Congo actualités, jobs, emploi, sport, musique, culture, afrique, kinshasa , Kabila , Mobutu , tshisekedi, werrason, coopération , République Démocratique du Congo,opposition,résistance,alliance,mouvement associatif, économie, | |
Restructuration de la CENI à l'Assemblée nationale, les conclusions de la Commission chargée d'aplanir les divergences toujours attendues Nov 12th 2012, 12:17 Crée le 12-11-2012 11h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 12-11-2012 - 13H00 PAR: OBSERVATEUR Les élections provinciales qui marqueront la poursuite du processus électoral entamé avec la présidentielle et les législatives du 28 novembre 2011, auront-elles lieu en janvier 2013 ? Telle est la question que ne cessent de se poser beaucoup de personnes au sein de l'opinion. Ceci, au regard du temps qui reste pour l'organisation de prochaines élections (provinciales, sénatoriales, des gouverneurs de province, locales, municipales et urbaines qui permettront de compléter l'architecture institutionnelle de la RDC. En effet, plus que deux mois nous séparent du délai imparti par le tout dernier calendrier élaboré par la CENI qui jusqu'à présent n'a encore subi aucune modification. Mais, sur terrain, rien ne permet de dire si ces élections auront lieu au mois de janvier 2013. Tout ce que l'on sait, est que la balle se trouve encore dans le camp de l'Assemblée nationale, elle qui doit d'abord se prononcer sur la restructuration de la CENI, souhaitée par plusieurs organisations de la Société civile ainsi que des voix au sein de la communauté internationale dont celle du président français François Hollande qui avait même conditionné sa participation au 14ème Sommet de la Francophonie à Kinshasa à cette question de restructuration de la CENI. Signalons que cette question était parmi les points abordés en priorité en septembre dernier à l'Assemblée nationale juste après la rentrée parlementaire. Malheureusement, les débats y relatifs avaient été suspendus suite aux divergences nées entre l'opposition et la majorité. Les deux camps ne se sont pas accordés sur l'élargissement du bureau de la CENI à 9 membres au lieu de 7 d'une part et d'autre part sur la mise en place d'une assemblée plénière qui doit contrôler, et le cas échéant sanctionné les membres du bureau. Face à ce désaccord, le président de l'Assemblée nationale, Aubin Minaku n'avait trouvé mieux que de renvoyer la question dans une commission ad hoc qui doit aplanir les divergences. Mais, ,jusqu'à ce jour, les conclusions de cette commission dont on ne sait d'ailleurs pas si elle a été constituée, se font toujours attendre. Quant à la restructuration proprement dite de la CENI, la Société civile qui y tient mordicus aussi bien au niveau du bureau avec deux représentants qu'à celui de l'assemblée plénière avec cinq représentants. Elle aura en tout 7 sièges dans la nouvelle configuration proposée de la CENI qui doit comporter 21 sièges, les 14 autres sièges étant réservés aux forces politiques. Cette présence, pensent les organisations de la Société civile, permettra d'éviter d'éventuelles fraudes lors de prochaines élections. Cette fois, fait-on savoir, l'on voudrait prendre toutes les dispositions pour éviter les malheureux scénarios observés lors des législatives passées dans certains bureaux de vote où des candidats députés se livraient au bourrage des urnes, trafic d'influence, et recourant parfois même à la violence sur les agents électoraux de la CENI souvent au vu et au su de tout le monde aux fins de changer les résultats en leur faveur. Une certaine Mélanie Mundiete Mbume aurait déjà fait les frais de ce genre d'indélicatesse. Cet agent de la CENI, secrétaire d'un bureau de vote dans la circonscription électorale de Mont Amba à Kinshasa, n'a plus donné de ses nouvelles depuis début décembre 2011. D'après des informations fournies par l'un des membres de sa famille résidant à Brazzaville, elle serait portée disparue après qu'elle ait été victime des menaces et des intimidations de la part d'un puissant politicien, candidat député malheureux dont Mme Mélanie Mundiete Mbume aurait dénoncé les tentatives de fraude. C'est ce genre de cas que la Société civile se propose de combattre lors de prochaines élections. KPM | |
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