Crée le 22-08-2013 12H10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour dimanche 22-08-2013 - 12H10 PAR : ARTV-NEWS
Enfants immigrés
Le taux de natalité a connu sa plus forte hausse en Région bruxelloise. En 2011, on y dénombrait plus de 1,1 million d'habitants. D'ici 2060, ils devraient être 1,5 million. La statistique sur toute la Belgique...
La question des migrations internationales est au centre d'importants débats et attire de plus en plus l'attention de l'opinion publique et du monde politique. Certains événements ou des images stéréotypées focalisent une grande partie de cette attention, parfois au détriment d'une perception des migrations qui serait à la fois plus globale et plus circonstanciée.
Or, la méconnaissance des réalités migratoires ne peut qu'accroître les incompréhensions au sein d'une société profondément marquée par la diversité des origines, et risque par ailleurs d'aboutir à des choix de société et à des mesures politiques mal adaptés aux situations réelles.
Il fut un temps, qu'on pouvait avoir autant d'enfant qu'on voulait en Belgique, cela regardait que seulement, la performance des intéressées. Via une lois contraignante, il n'est plus permis de dépasser plus de trois enfants, sinon on se verrait infliger une sanction draconienne, par la suspension définitive de ses allocations familiales.
La Belgique couvre une superficie de 30 528 km2, avec une population de plus de onze millions d'habitants, veut limiter les dégâts en régulant les naissances, surtout de ses immigrés encombrants, une machine infernale à faire des enfants, en astreignant ses immigrés, belges d'origines étrangères, flamands, belges de souche, quoi que... Tous dans le même sac, embarqués dans le même navire, de respecter la loi qui vient de rentrer en vigueur, en douce sans tambour ni trompette.
Cette loi contre nature, est bien entendu une excuse destinée aux étrangers qui sont champions des allocations et de la maternité. Beaucoup de familles se trouveront d'emblée, le bec dans l'eau, sans allocations en essayant de transgresser cette fameuse loi rétrograde et injuste ou par méconnaissance de cette nouvelle loi.
Ceux qui ont eu une famille nombreuse de plus de trois enfants, avant cette loi, une tribu, une ribambelle de rejetons, pourront se réjouir, de conserver leurs droits, mais ceux qui s'hasarderont vers une nouvelle aventure, en voulant coûte que coûte d'avoir un quatrième enfant, se verront leurs allocations coupées sans aucune autre forme de procès..
Cette loi a intrinsèquement, une seule vertu ! Elle permettra à des femmes qui quittaient leurs maris pour en bénéficier seules des allocations, auront un seul désir se tenir à carreau et protéger leurs couples respectifs en assurant un bel avenir à leurs progénitures.
Ces lois permissives qui permettaient aux femmes avec un apport et soutien considérable de féministes, un poison de la société, de se fourvoyer dans des comportements irresponsables, se calmeront en se trouvant devant un fait accompli, celui de cimenter le socle familial et de n'est plus faire, le principe de dossier à part (chacun bénéficie des allocations de son côté)...
La Secrétaire d'Etat à l'Asile et la Migration Maggie De Block à l'origine de ces nouvelles lois contraignantes, ne veut plus lâcher l'os à moelle comme bulldog qui fait d'elle, la femme la plus détestée de la royaume de la Belgique par les immigrés .
Elle a été nommée pour faire le ménage dans un environnement qui d'après son secrétariat d'Etat, devenait inadmissible et insupportable.
Les congolais de la Belgique l'ont baptisé «maman Nzau²» ! « mère éléphante », en kikongo, l'un des quatre principaux dialectes de la RDC , proportionnellement à son excès pondéral...
Roger BONGOS
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