Crée le 27-02-2013 12H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 27-02-2013 -12H25PAR: ARTV NEWS
Roger Lumbala
Une plainte contre Roger LUMBALA déposée en 2010 à la CPI est maintenant regardée avec beaucoup d'attention compte tenu de l'indexation de M23 par l'état Américain, commente le conseiller en communication de la CPI.
Au vue des récents événements qui surviennent dans l'Est de la RDC par rapport au M23 et le ralliement de Roger LUMBALA dans ce mouvement rebelle qualifié de terroriste. Nous attirons l'attention du présumé accusé et à la communauté internationale, qu'une instruction se mettra en place pour enquêter sur l' éventuelle participation en tant que chef de guerre aux crimes commis par son mouvement de l'époque, le RCD-N.
Les choses compliquent encore pour ce tartuffe qui a aussi un problème avec la France là où il a un appartement dans le 13 èm arrondissement de Paris. La France envisagerait d'après les sources judiciaires, de la place beauvau au ministère de l'intérieur et du Quai d'Orsay de lui retirer son séjour ( carte de 10 ans ainsi qu'à sa famille pour une expulsion). Le séjour acquis par une demande d'asile litigieuse. Une ONG des droits constitue un gros dossier à charge pour la saisine du parquet en tant que partie civile pour son soutien et ralliement au M23 organisation terroriste et criminelle qui a fauchée la vie des victimes vulnérables ( viols et massacres ) dans l'Est de la RDC
D'après cette source, la France n'a pas vocation à héberger sur son sol un responsable d'une organisation terroriste. Nous examinerons avec attention, le cas de ce Monsieur exit, le secrétariat du quai d'Orsay.
Une plainte contre Roger Lumbala à la CPI
Le récit de la situation qui fera tomber Roger LUMBALA
Les notables de Bafwasende ont mandaté M. Philippe Aluta, conseillé du gouverneur de la Province Orientale et ressortissants de ce territoire, comme représentant des victimes de la rébellion de Roger
Tous les notables du territoire de Bafwasende en Province Orientale se sont réunis, dimanche 15 novembre 2009, à la cité de Bafwasende, chef-lieu, à 262 Km sur la nationale n° 4. L'objet de cette rencontre était de statuer sur le cas de Roger Lumbala qui, avec sa rébellion du RCD-N avait sévi dans cette partie de la RD Congo en 1999.
Dans cette réunion, tous les notables de Bafwasende présents ont mandaté M. Philippe Aluta, conseillé du gouverneur de province et ressortissant de ce territoire, comme représentant des victimes de la rébellion de Roger Lumbala. Ce dernier est accusé de meurtre de plusieurs fils et filles de Bafwasende, de viol d'une centaine de femmes, d'enrôlement des enfants dans l'armée de son mouvement politico-militaire et de déportation.
Il avait par ailleurs réquisitionné toutes les carrières de diamant et s'était approprié tous les produits (Carats de diamant) ou les avait achetés à vils prix, appauvrissant par ricochet les fils et filles de Bafwasende, territoire qu'il avait administré comme un Etat dans un Etat en y percevant toutes sortes de taxes et impôts, y compris ceux à la frontière (OFIDA,DGI...).
Il est également mis sur le dos de Roger Lumbala le détolement des maisons du village situé au PK 210 appartenant à la CELCO et de destruction et tentative de déplacement du groupe électrogène de l'Hôpital général de référence de Bafwasende à la cité du même nom.
Etant donné que Roger Lumbala et son RCD-N (Rassemblement Congolais pour la Démocratie/National), mué en parti politique à la faveur de l'Accord global et inclusif avaient bénéficié dans leur sale besogne de l'appui de l'Ouganda, les notables de Bafwasende ont demandé à Philippe Aluta d'introduire une plainte à la Cour pénale internationale(CPI).
Cet ex-chef de guerre devra donc endosser toute la responsabilité de ces crimes (crimes de guerre, crimes contre l'humanité, crimes économiques, crimes sociaux) dont les preuves ont été rassemblées et remises au représentant légal des victimes des guerres de Bafwasende après sa désignation par la notabilité.
Dans leurs échanges, les notables de Bafwasende ont fait le constat selon lequel leur territoire loupe beaucoup de projets pour son développement parce que présenté comme un lieu où règnent l'insécurité et la tension. Cette responsabilité incombe à Roger Lumbala dont l'argent amassé dans son épongée sanglante à Bafwasende lui avait permis de battre campagne dans son Lodja natal (Kasaï Occidental) et de s'y faire élire député national en 2006.
Pour les notables de Bafwasende, Roger Lumbala doit être arrêté par la C.P.I. pour que pareille désolation ne se répète plus dans leur terroir. D'après Philippe Aluta, le gouverneur de la Province Orientale, Médard Autsai Asenga, est déjà tenu informé de résolutions prises par les notables de Bafwasende. Aussi une plante est déjà transmise à la CPI à La Haye aux Pays-Bas.
A la préoccupation sur le fait que certains crimes, bien que de la compétence de la CPI, ont été commis avant l'entrée en vigueur du Statut de Rome (juillet 2002), les notables de Bafwasende estiment que leur démarche vise à alerter l'opinion nationale et internationale. Qu'elle sache que quelque part en RD Congo, des crimes les plus odieux avaient été commis à l'endroit des paisibles citoyens. Comment expliquer que pour le plaisir de tuer, on puisse arroser de rafale un tireur de vin de palme perché sur son palmier comme si on abattait un singe ou tirer à bout portant sur quelqu'un debout devant sa porte de maison ! Tout cela mérite réparation des victimes et sanction exemplaire des coupables.
En outre, les participants à cette réunion ont jeté un regard rétrospectif rapide sur le Forum pour la pacification et le développement de Bafwasende tenu du 17 au 22 septembre 2007 au chef-lieu du territoire, lequel avait réuni 500 participants. Une réunion a été projetée au mois de février 2010 afin d'évaluer les résolutions prises au cours de ces assises.
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