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AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l'actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l'actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger portail sur l'actualité africaine,Afrique,actu, Actualité de l'Afrique et de la RDC,de l'Afrique et du Maghreb offre un journal quotidien contenant des informations sur l'actualité, la culture, l'économie, le sport, les sociétés de 56 pays africains, Congo actualités, jobs, emploi, sport, musique, culture, afrique, kinshasa , Kabila , Mobutu , tshisekedi, werrason, coopération , République Démocratique du Congo,opposition,résistance,alliance,mouvement associatif, économie,

Mauvais signe des temps : Une nouvelle grève menace le gouvernement Matata Feb 5th 2013, 09:25   Crée le 05-01-2013 09H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi  05-01-2013 - 09H34 PAR: LA TEMPETE DES TROPIQUES Cette fois-ci les enseignants du primaire et du secondaire ont décidé de se débarrasser de la craie si leur condition salariale demeure inchangée. Décidément, le gouvernement Matata devrait encore faire face à d'autres mécontentements des travailleurs. La pomme de discorde demeure les salaires de misère que touchent les fonctionnaires de l'Etat. Après les blouses blanches, les professeurs d'universités, et les transporteurs de gros engins sans omettre ceux des véhicules privés affectés au transport en commun, voici aujourd'hui les enseignants du secteur primaire, secondaire et professionnel qui annoncent leur arrivée. Ces formateurs ont exigé du gouvernement de la République la majoration de leur salaire à la paie du mois de février prochain. Faute de quoi, ils n'hésiteraient pas à mettre la clef sous le paillasson. La décision a été prise au cours d'une assemblée générale organisée le week-end par le syndicat des enseignants (Syeco) dans la Commune de Limete l'AG a porté principalement sur la restitution des résolution issues des travaux de la commission paritaire, tenue dernièrement, lesquels ont regroupé des délégués du gouvernement et ceux des syndicats. Cette menace des enseignants doit être prise au sérieux par le gouvernement qui devrait tout mettre en oeuvre pour satisfaire aux exigences légales et légitimes de ce corps de métier. Car, frustrés, ces derniers n'ont pas la mémoire courte pour oublier de sitôt la promesse non tenue du gouvernement de rendre effectif le barème de Mbudi. La déception des enseignants est d'autant plus grande que la plupart de leurs cahiers de charge n'ont jamais connu totalement des suites favorables. Brandissant la menace de grève, les enseignants exigent en plus la régularisation de l'application du budget de l'exercice 2013 de la situation salariale des cas des enseignants non payés et décidés. Autre réclamation qui fâche est la rétrocession des retenues effectuées sur leur salaire dans le cadre de retenues effectuées sur leur salaire dans le cadre de l'opération de la paie par voie bancaire sans oublier la publication des listes des enseignants omis dans cette opération. Des résolutions issues des travaux de la commission paritaire, il ressort que le salaire de base de l'enseignant, fixé à 17.000 FC, a été majoré. Il en est de même en ce qui concerne l'enveloppe de la prime des enseignants qui passe désormais à 2.500.000 FC par mois. Apparemment, cette majoration n'a pas donné satisfaction. Autrement les enseignants auraient mis leur langue en poche. Une chose est sûre. Une fois la grève déclenchée, le gouvernement fouillera ciel et terre pour trouver une solution aux problèmes des enseignants en colère afin de les amener à retrouver le chemin de l'école. Pourquoi le gouvernement attend-il toujours une grogne avant de résoudre des problèmes des salaires ? N'est-ce pas que gouverner c'est prévoir, Qui ne travaille pas, dit-on, ne mange pas. A l'opposée, qui travaille doit manger. G.O.

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