Sunday, October 20, 2013

AFRIQUE REDACTION Site d'actualité africaine et internationale . Rédacteur en chef : BONGOS Roger: RDC: LE DIALOGUE AVEC LE M23 VA À L'ÉCHEC, SELON KINSHASA

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RDC: LE DIALOGUE AVEC LE M23 VA À L'ÉCHEC, SELON KINSHASA
Oct 21st 2013, 05:09

 

© AFPLe représentant des rebelles du M23, René Abandi (G), aux négocations avec le gouvernement à Kampala le 17 septembre 2013 
© AFP/Archives Isaac Kasamani

Kinshasa (AFP) - Les négociations de paix en cours à Kampala entre le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du M23 s'acheminent "vers un échec", a-t-on estimé dimanche soir de source officielle congolaise.

"On s'achemine lentement mais sûrement vers un échec", a déclaré à l'AFP par téléphone un haut responsable congolais présent à Kampala.

"Face aux concessions du gouvernement, le M23 met sur la table de nouvelles revendications", a-t-on ajouté de même source, indiquant que la rébellion avait "refusé la dernière proposition" de la médiation ougandaise, avalisée par le gouvernement.

Selon ce responsable, le ministre congolais des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, qui était arrivé mardi à Kampala pour négocier un accord final avec les rebelles, pourrait quitter rapidement la capitale ougandaise.

Les négociations de Kampala avaient repris le 10 septembre, après plusieurs mois d'arrêt, sous la pression des chefs d'Etat de la région des Grands Lacs. Elles étaient censées durer deux semaines.

Le départ du ministre de signifierait pas nécessairement la fin du dialogue dans la mesure où celui-ci s'est déroulé sans lui pendant un certain temps, mais le gouvernement congolais a indiqué à plusieurs reprises ces derniers jours qu'il avait été jusqu'au bout de ce qu'il pouvait donner et qu'il commençait à trouver le temps long.

La principale pomme de discorde est la question de l'amnistie à accorder aux rebelles et celle de leur incorporation dans l'armée. Soutenu par la communauté internationale, le gouvernement congolais refuse fermement d'accorder l'impunité aux principaux responsables de la rébellion.

Parlant de "grandes avancées" dans les discussions, le président de la branche politique du M23, Bertrand Bisimwa, avait affirmé samedi que son mouvement avait consenti "de grandes concessions sur ses revendications politiques pour rendre possible la signature d'un accord de paix à Kampala dans les heures qui suivent".

Aucun négociateur du M23 présent à Kampala n'avait pu être joint dimanche soir pour faire le point sur la situation.

Affaibli depuis la dernière offensive conjointe de l'armée congolaise et des Casques bleus fin août, le M23 (Mouvement du 23 Mars), contrôle une zone de quelque 700 kilomètres carrés adossée aux frontières du Rwanda et de l'Ouganda, dans l'Est de la République démocratique du Congo.

Parti d'une mutinerie d'anciens rebelles intégrés dans l'armée congolaise, le Mouvement a été constitué officiellement en mai 2012. L'ONU et le gouvernement congolais accusent régulièrement le Rwanda et l'Ouganda de soutenir le M23, ce que ces deux voisins de la RDC démentent.

Les rebelles, qui demandent la pleine application de l'accord de paix ayant régi leur incorporation dans l'armée en 2009, défendent d'une manière générale les droits des populations congolaises rwandophones, essentiellement tutsi.

RDC: le dialogue avec le M23 va à l'échec, selon Kinshasa

21:48 - 20/10/13
© AFP Le représentant des rebelles du M23, René Abandi (G), aux négocations avec le gouvernement à Kampala le 17 septembre 2013
© AFP/Archives Isaac Kasamani

Kinshasa (AFP) - Les négociations de paix en cours à Kampala entre le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du M23 s'acheminent "vers un échec", a-t-on estimé dimanche soir de source officielle congolaise.

"On s'achemine lentement mais sûrement vers un échec", a déclaré à l'AFP par téléphone un haut responsable congolais présent à Kampala.

"Face aux concessions du gouvernement, le M23 met sur la table de nouvelles revendications", a-t-on ajouté de même source, indiquant que la rébellion avait "refusé la dernière proposition" de la médiation ougandaise, avalisée par le gouvernement.

Selon ce responsable, le ministre congolais des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, qui était arrivé mardi à Kampala pour négocier un accord final avec les rebelles, pourrait quitter rapidement la capitale ougandaise.

Les négociations de Kampala avaient repris le 10 septembre, après plusieurs mois d'arrêt, sous la pression des chefs d'Etat de la région des Grands Lacs. Elles étaient censées durer deux semaines.

Le départ du ministre de signifierait pas nécessairement la fin du dialogue dans la mesure où celui-ci s'est déroulé sans lui pendant un certain temps, mais le gouvernement congolais a indiqué à plusieurs reprises ces derniers jours qu'il avait été jusqu'au bout de ce qu'il pouvait donner et qu'il commençait à trouver le temps long.

La principale pomme de discorde est la question de l'amnistie à accorder aux rebelles et celle de leur incorporation dans l'armée. Soutenu par la communauté internationale, le gouvernement congolais refuse fermement d'accorder l'impunité aux principaux responsables de la rébellion.

Parlant de "grandes avancées" dans les discussions, le président de la branche politique du M23, Bertrand Bisimwa, avait affirmé samedi que son mouvement avait consenti "de grandes concessions sur ses revendications politiques pour rendre possible la signature d'un accord de paix à Kampala dans les heures qui suivent".

Aucun négociateur du M23 présent à Kampala n'avait pu être joint dimanche soir pour faire le point sur la situation.

Affaibli depuis la dernière offensive conjointe de l'armée congolaise et des Casques bleus fin août, le M23 (Mouvement du 23 Mars), contrôle une zone de quelque 700 kilomètres carrés adossée aux frontières du Rwanda et de l'Ouganda, dans l'Est de la République démocratique du Congo.

Parti d'une mutinerie d'anciens rebelles intégrés dans l'armée congolaise, le Mouvement a été constitué officiellement en mai 2012. L'ONU et le gouvernement congolais accusent régulièrement le Rwanda et l'Ouganda de soutenir le M23, ce que ces deux voisins de la RDC démentent.

Les rebelles, qui demandent la pleine application de l'accord de paix ayant régi leur incorporation dans l'armée en 2009, défendent d'une manière générale les droits des populations congolaises rwandophones, essentiellement tutsi.

- See more at: http://www.izf.net/actualite-a-la-une-afrique?content=urn.newsml.afp.com.20131020.902ee3bd.4d0d.43bc.8908.8b9999769028.html#sthash.Gf4rZHxz.dpuf

RDC: le dialogue avec le M23 va à l'échec, selon Kinshasa

21:48 - 20/10/13
© AFP Le représentant des rebelles du M23, René Abandi (G), aux négocations avec le gouvernement à Kampala le 17 septembre 2013
© AFP/Archives Isaac Kasamani

Kinshasa (AFP) - Les négociations de paix en cours à Kampala entre le gouvernement de la République démocratique du Congo (RDC) et les rebelles du M23 s'acheminent "vers un échec", a-t-on estimé dimanche soir de source officielle congolaise.

"On s'achemine lentement mais sûrement vers un échec", a déclaré à l'AFP par téléphone un haut responsable congolais présent à Kampala.

"Face aux concessions du gouvernement, le M23 met sur la table de nouvelles revendications", a-t-on ajouté de même source, indiquant que la rébellion avait "refusé la dernière proposition" de la médiation ougandaise, avalisée par le gouvernement.

Selon ce responsable, le ministre congolais des Affaires étrangères, Raymond Tshibanda, qui était arrivé mardi à Kampala pour négocier un accord final avec les rebelles, pourrait quitter rapidement la capitale ougandaise.

Les négociations de Kampala avaient repris le 10 septembre, après plusieurs mois d'arrêt, sous la pression des chefs d'Etat de la région des Grands Lacs. Elles étaient censées durer deux semaines.

Le départ du ministre de signifierait pas nécessairement la fin du dialogue dans la mesure où celui-ci s'est déroulé sans lui pendant un certain temps, mais le gouvernement congolais a indiqué à plusieurs reprises ces derniers jours qu'il avait été jusqu'au bout de ce qu'il pouvait donner et qu'il commençait à trouver le temps long.

La principale pomme de discorde est la question de l'amnistie à accorder aux rebelles et celle de leur incorporation dans l'armée. Soutenu par la communauté internationale, le gouvernement congolais refuse fermement d'accorder l'impunité aux principaux responsables de la rébellion.

Parlant de "grandes avancées" dans les discussions, le président de la branche politique du M23, Bertrand Bisimwa, avait affirmé samedi que son mouvement avait consenti "de grandes concessions sur ses revendications politiques pour rendre possible la signature d'un accord de paix à Kampala dans les heures qui suivent".

Aucun négociateur du M23 présent à Kampala n'avait pu être joint dimanche soir pour faire le point sur la situation.

Affaibli depuis la dernière offensive conjointe de l'armée congolaise et des Casques bleus fin août, le M23 (Mouvement du 23 Mars), contrôle une zone de quelque 700 kilomètres carrés adossée aux frontières du Rwanda et de l'Ouganda, dans l'Est de la République démocratique du Congo.

Parti d'une mutinerie d'anciens rebelles intégrés dans l'armée congolaise, le Mouvement a été constitué officiellement en mai 2012. L'ONU et le gouvernement congolais accusent régulièrement le Rwanda et l'Ouganda de soutenir le M23, ce que ces deux voisins de la RDC démentent.

Les rebelles, qui demandent la pleine application de l'accord de paix ayant régi leur incorporation dans l'armée en 2009, défendent d'une manière générale les droits des populations congolaises rwandophones, essentiellement tutsi.

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