Crée le 06-09-2013 01H33 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le vendredi 05-09-2013 - 01H09 PAR : ARTV NEWS
Une personne vilipendée m'a appelé dans son mécontentement, m'a fait part de son sentiment sur ce qui se passe dans cette diaspora avec un foisonnement des journalistes en herbe…
Quand celui qui se dit journaliste, ne laisse pas passer pas des incongruités dans ses vidéos à l'égard d'une personne qui n'est pas invité. Selon la déontologie journalistique, il jouera le rôle de catalyseur et d'arbitre dans le débat, en ayant un bagage suffisant pour remettre son interlocuteur à sa place d'une manière élégante.
A moins qu'il soit un petit aventurier, qui veut jouer le rôle qui n'est pas le sien. Raison pour laquelle d'ailleurs, les journalistes se spécialisent dans leurs domaines où, ils ont la maîtrise et se sentent à l'aise avec un background. On ne peut pas tout savoir !
Il censure, au regard de la loi et de sa déontologie ce qu'il trouve déplacé ou contraire aux règles préétablies. Le respect de la vie privée, d'éviter la diffamation et la calomnie, puisqu'il cela incombe à sa responsabilité.
Où dans la mesure du possible, mettre en illustration quelques informations relatives à la situation après enquête sur les propos allégués. Mesure de précaution pour se préserver des foudres de la justice.
Depuis le fleurissement des presses en ligne, il y a au palais de justice français à Paris, plus de 63 % de plainte pour diffamation et 87 % de ces plaintes ont abouties à la condamnation de ceux qui essayent de jouer aux apprentis journalistes…
Quand il y a des injures dans une émission, il est exigé par le même principe journalistique de les couvrir avec, ou par un bip sonore continu, comme tous les professionnels font.
Si jamais celui-ci d'une manière délibéré admet cela, cela caractérise son incurie, et son manque de professionnalisme dans le métier qui je répète est noble, et vieux comme le monde.
Ces comportements, entrainent de facto, une condamnation aux tribunaux avec des sévères dommages et intérêts.
Cela étant dit, dans mes interviews, faites avec des diverses personnalités tant politiques que de la société civile. Dans, ces 945 interviews, aucune d'elles n'a fait l'objet d'une bassesse intellectuelle, avec un caractère vulgaire.
Ce qui est dommage et dommageable c'est le satisfecit observé dans le chef de ceux qui sont auteurs de ce pharisaïsme. Cela prouve à suffisance, la qualité morale de ces leaders d'opinion dans le devoir de ce qui est le sien, la morale professionnelle.
Il est regrattage et à regretter, comme on a pu le dire, le droit de réponse existait, mais pas dans la vulgarité, médiocrité et l'incurie, c'est plutôt les tribunaux qui peuvent se saisir de cette affront, non à celui qui a manqué à ses devoirs d'appeler les gens au respect (conformément à la loi) de se résoudre avec un droit de réponse. Cela n'enlève en rien l'imperfection journalistique criante, désastreuse observée.
Quand, on soutien, un idéal, on ne peut en aucun cas, laisser la nasse de crabes envahir les pensées des gens averties, d'une moralité irréprochable dans ce qu'ils entreprennent. Favoriser pour l'abrutissement de la masse, en leur servant le repas habituel, sauce au pugilat à caractère polémique où, la femme est chosifiée, rabaissée et insultée…
Tout cela, a un soupçon d'un comportement compromis par, si je m'abuse le désir de se servir d'un outil pour régler ses comptes avec ceux qui ont souvent, expertise.
Une personne qui aime ce combat ferait attention aux propos des uns et des autres dans ces broquards, où les femmes viennent dans le combat pour un idéal, et que celles-ci, hésiteront à rentrer dans le rang en visionnant ces drames que beaucoup ont salué.
Quelle est cette femme pour laquelle son but serait de faire quelque chose dans l'avènement d'un apaisement de la RDC, viendrait tout en ayant dans sa pensée les insultes ( taxée de trainée ) non censurées de ceux qui plombent ce combat ? Qui en est le responsable, ce n'est pas à moi de porter un jugement de valeur, mais à chacun de nous de lutter contre ces antivaleurs, le trouvé comme cheval de bataille…
Toléré cela, est simplement inadmissible et révoltant au nom de la morale et de l'intégrité…
Quel l'homme sensé laisserait sa femme d'aller se jeter dans cette arène où, tout est permis, avec vindicte populaire, orchestrée par la presse dite à sensation, aucun. Donc, par définition, d'une manière organisée sournoise et réfléchie, on participe à salir le combat, dans quel but ?
Cette permissivité malheureuse à deux buts :
Premièrement, de décourager les personnes qui souhaiteraient ramener ce combat dans un terrain intelligent et conquérant.
Et enfin deuxième, de distraire les gens dans le but également d'endormir ce combat avec ces railleries qui ne servent qu'à discréditer ceux qui tiennent les flambeaux de combat.
Chacun d'une manière conséquent, ou encore moins visible apporter sa pierre à l'édifice sans crier fort sur le toit, de ce qu'on apporte au combat. Les drames de ce combat, résident sur le foisonnement des sites inutiles qui à la cause. C'est voulu…Il y a qu'à voir la qualité de leurs interventions, on se trouverait dans un vaste domaine de souffreteux. Et ils s'en réjouissent de leur tare…
Regardez et observez, les professionnels des médias comment sont-ils prudents et ne font pas rentrer dans la définition de leur travail, des sentiments personnels (égo) pour exercer leur travail. J'aime les journalistes de la presse écrite, ceux qui ont de la matière, et une certaine pertinence dans leurs analyses.
J'en appelle à la responsabilité des uns et des autres pour un sens équilibré de leur devoir, en ayant la passion pour le métier, qui dans sa grande noblesse élève son homme.
Roger BONGOS pour une amie consœur qui a été affectée par ces fautes graves professionnelles..
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