Crée le 17-10-2012 02h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mecredi 17-10-2012 -13H00 PAR : ARTV-NEWS
Le Président Joseph Kabila a eu mardi, au pavillon d'honneur de l'aéroport international de N'Djili, des entretiens d'une quarantaine de minutes avec son homologue tchadien, Idriss Deby Itno, venu le féliciter d'avoir réussi à organiser "avec brio" le 14ème sommet de la Francophonie, qu'il a qualifié de "rencontre très importante" sanctionnée par "de bonnes décisions". Le Président Deby a indiqué n'avoir pas pris part au 14ème sommet de la Francophonie suite à un problème de calendrier, avant d'ajouter qu'il a également félicité son homologue de la confiance que le peuple congolais lui a renouvelée pour un nouveau mandat de cinq ans, lors de l'élection présidentielle de 2011. "Depuis lors, nous ne nous sommes pas rencontrés", a-t-il précisé.
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Nassour Guelengdouksia, secrétaire général de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC), a promis au cours d'un point de presse, tenu le 15 octobre, de débattre sur la question sécuritaire de la RDC lors de la prochaine rencontre des ministres de cette structure sous régionale. La guerre dans l'est de la RDC préoccupe beaucoup de structures tant nationales qu'internationales. C'est le cas de la CEEAC, qui exige la cessation immédiate des exactions du Mouvement du 23 mars (M23) sur les populations civiles de la RDC. D'après le Secrétaire général de la CEEAC, Nassour Guelengdouksia, si un des membres de cette communauté est menacé, il est tout à fait normal que cette structure sous-régionale prenne position et condamne fermement les agresseurs. "Nous avons sorti un communiqué le 10 août dernier qui condamne de la façon la plus forte ce qui passe au niveau de la RDC, notamment les exactions menées sur la population civile. Surtout sur les femmes et les enfants par le mouvement dit M23 et ses alliés", a expliqué M. Guelengdouksia
Congo Times
L'opposant Vital Kamerhe pense que le sommet de Kinshasa a été un échec. Il a permis au peuple congolais de comprendre qu'il se pose en République démocratique du Congo RDC, un problème de déliquescence de l'Etat et de leadership responsable. "Nous ne pouvons pas attendre que ça soit les présidents des pays étrangers comme celui du Sénégal ou celui de la France et bien d'autres pour venir nous rappeler nos devoirs en tant que dirigeants. Puisque moi je n'ai pas compris pourquoi le Sénégal doit venir jusqu'ici pour rappeler au président de la (RDC) que la démocratie sur le plan africain tel que consigné dans la charte de la Francophonie est une démocratie basée sur le consensus social, politique et même ethnoculturel", a déclaré M. Kamerhe.
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