Crée le 26-09-2012 01h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi 26-09-2012 -10H10 PAR :ARTV-NEWS
Les assises de Libreville, organisé par l'UCST/CEMAC en collaboration avec le Bureau international du Travail (BIT), rentre dans le programme de renforcement de capacité des responsables syndicaux de l'espace CEMAC, initié par la confédération sous-régionale et dont le Gabon constitue la première étape de cette série.
Selon la représentante de BIT, Juliette Fara Razaflarisoa, cette rencontre vise à la vulgarisation et la maîtrise des instruments de l'Organisation internationale du Travail (OIT) parmi lesquels les recommandations 200 sur le VIH/Sida dans le monde du travail et 202 sur le socle sociale.
"Nous sommes réunis en lieu durant deux jours, pour débattre et échanger sur les orientations majeures, concernant les recommandations 200 sur le VIH/Sida et le monde du travail et 202 sur le socle de protection sociale dans nos pays", a-t-elle expliqué.
Les travailleurs et les populations de la sous-région d'Afrique centrale, comme ailleurs, sont confrontés au combat quotidien contre la pandémie du VIH/Sida.
L'objectif de ce nouvel instrument est de jeter les bases d'une présence tripartite institutionnelle au sein des programmes nationaux de lutte contre le VIH/Sida, de renforcer la contribution du lieu de travail à l'accès universel à la prévention, au traitement, à la prise en charge et au soutien, ainsi qu'à la protection des droits et améliorer la coordination de cette pandémie dans le monde du travail.
En effet, la recommandation 200 sur le VIH/Sida dans le monde du travail adopté lors de la 100ème session de la Confédération internationale du Travail (CIT) couvre de diverses questions sur le lieu du travail, notamment la prévention, le dépistage, la discrimination et l'éducation des salariés.
Cette initiative de l'UCST/CEMAC permettra non seulement aux organisateurs des travailleurs d'Afrique centrale de partager leurs expériences, mais aussi de fédérer leur force en vue du développement économique et social de la sous-région et de défendre efficacement leurs intérêts communs.
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