Friday, January 25, 2013

AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger: Braquage des boutiques et des maisons de communications à Kintambo, Barumbu et Limete La police recherche trois bandes de malfaiteurs

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Braquage des boutiques et des maisons de communications à Kintambo, Barumbu et Limete La police recherche trois bandes de malfaiteurs
Jan 25th 2013, 11:01

Crée le 25-01-2013 11H00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le vendredi 25-01-2013 - 12H25 PAR : LE PHARE

Depuis deux semaines déjà, plusieurs unités de la police sont déployées à Kinshasa, pour traquer des bandes de malfaiteurs qui en ce mois de janvier, et à de différentes dates, ont, les unes, braqué des maisons de communications et des boutiques, d'autres visité des appartements et dépouillé les occupants, de leurs biens de valeur. En effet, à la suite de ces actes de banditisme perpétrés dans trois communes, l'insécurité a frôlé la cote d'alerte.

Car, rien n'indique jusqu'ici qu'après ces vols à main année répétés, les brigands ne vont plus récidiver à Kintambo, Barumbu et Limete. Dans ces trois communes, comme il faudrait le rappeler, les premiers éléments des enquêtes ouvertes par la police, établissent que trois bandes de malfaiteurs ne se connaissant pas, mais opérant séparément, chacune dans son fief, ont frappé aussi bien les maisons d'habitation que les maisons de communications, laissant leurs victimes dans la désolation. Personne ne connaît la composition exacte de ces bandes, ni leurs repaires, moins encore leurs modes opératoires qui pourtant, présentent quelques similitudes à bien d'égards. Mais une chose est certaine. Les brigands comme les fauves, n'aiment opérer que là où ils maîtrisent la topographie de lieux, et où ils sont guidés par un complice ou un indicateur.

 

Le 16 janvier 2013, vers 23 heures, Ntumba Comms, une maison de communications sise sur avenue Luvungi n° 24, quartier Kasaï, commune de Barumbu, recevait la visite d'un groupe de malfaiteurs venu à bord d'une jeep de marque Nissan Terrano, dépourvue de plaques d'immatriculation, et de couleur grise. Si le chauffeur est resté au volant, le moteur toujours en marche, les trois hommes armés ont fait irruption dans cet établissement et surpris le propriétaire en train de boucler les comptes des recettes de la journée. Après avoir menacé de l'abattre, ils lui ont arraché ses économies et quelques cartes prépayées, le tout totalisant la somme de 3.000 dollars.

L'on croit savoir que la piste de la jeep Nissan Terrano n'a pas aidé les enquêteurs à progresser dans leurs recherches, étant donné que plusieurs véhicules de cette marque japonaise circulent dans la ville de Kinshasa. D'où l'on émet plusieurs hypothèses. Le chauffeur de ce 4 X 4 avait-il été pris en location, ou aurait-il été braqué et contraint d'accompagner les bandits dans leur périple criminel? Pour l'instant, on ne se limite qu'aux hypothèses, en attendant la découverte d'autres pistes susceptibles de conduire jusqu'aux malfaiteurs.

Le 17 janvier 2013, vers 2 heures du matin, Ali Musengi était plongé dans un profond sommeil. Selon une source, il a brutalement été réveillé par des bruits de casse qui provenaient de la porte d'entrée principale de sa maison. Sur avenue Kimbangu n° 16, quartier Jamaïque, commune de Kintambo, quatre assaillants armés et en tenue militaire sont entrés dans son salon où il a les accueille tout tremblotant de peur, car ne connaissant pas leurs mobiles, ni leurs intentions.

 

 

Que voulez-vous ?

 

A cette question, leur réponse était sans équivoque. Donne-nous l'argent que tu gardes dans ta maison. Sinon, nous te ferons du mal!

Probablement, que Musengi leur a demandé d'attendre qu'il voit ce lui reste comme économies. Après avoir trouvé l'objet de leur préoccupation, il leur a remis 200.000 FC et deux téléphones portables. On ne sait pas si outre cette somme, les bandits en tenue n'avaient pas emporté autre chose.

 

Dans la nuit du 18 au 19 janvier 2013, il est 19 heures. La boutique sise sur 4ème rue Limete n° 9, quartier industriel, est encore ouverte, et reçoit quelques clients en quête des boîtes de conserve et des boissons. Une voiture de marque Toyota de couleur blanche et immatriculée 7881 AK/01, vient s'immobiliser à quelques mètres de l'entrée. Trois gaillards armés et en tenue civile en débarquent et se déployent comme dans un film policier. L'un faisant le guet reste dehors pendant que deux autres bandits pénètrent dans la boutique et se dirigent à la caisse, armes aux poings. Le gérant Ngetu, braqué, ne sait ni crier, ni s'échapper. Les malfaiteurs vont alors s'emparer des devises d'une valeur de 2.800 dollars, d'une somme en monnaie locale équivalant à 480.000 FC, ainsi que de trois téléphones portables V.I.P.

 

On ne sait pas ce qui s'est réellement passé par la suite, car les malfrats ont dans leur fuite précipitée, abandonné sur les lieux, non seulement le chauffeur et la voiture Toyota, mais également trois armes et un walkie-talkie qui devraient être récupérés par la police. Ces pièces à conviction qui se révèlent de précieux indices, comme il faudrait le signaler, pourraient fournir des pistes qui certainement, ont aidé les enquêteurs à l'identification des malfaiteurs et à la localisation de leurs domiciles ou leurs repaires. Certainement que dans un bref délai, les limiers parviendront à arrêter ces membres de la pègre, responsables du climat d'insécurité qui règne ces temps derniers dans la ville de Kinshasa. Il est à espérer que les deux dernières semaines de janvier seront déterminantes pour la capture de ces inciviques.

J.R.T.

 

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