Partira? Partira pas? La question donnait le tournis aux états-majors politiques et militaires de la région et de ceux qui suivent le dossier. Alors qu'un énième sommet de la CIRGL le week-end dernier à Kampala avait donné 48 heures au M23 pour quitter Goma prise mardi 20 novembre et que le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-Moon sommait le groupe rebelle de «rendre les armes immédiatement» et de quitter le chef-lieu du Nord-Kivu, suivi ou précédé par nombre de dirigeants occidentaux, cet ultimatum n'était pas véritablement suivi d'effet. Mercredi, on appris le départ pour Goma le lendemain des chefs d'état-major des armées de la sous-région chargés de superviser le retrait.
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