AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l'actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l'actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger | portail sur l'actualité africaine,Afrique,actu, Actualité de l'Afrique et de la RDC,de l'Afrique et du Maghreb offre un journal quotidien contenant des informations sur l'actualité, la culture, l'économie, le sport, les sociétés de 56 pays africains, Congo actualités, jobs, emploi, sport, musique, culture, afrique, kinshasa , Kabila , Mobutu , tshisekedi, werrason, coopération , République Démocratique du Congo,opposition,résistance,alliance,mouvement associatif, économie, | |
Province Orientale: les femmes préfèrent accoucher à domicile qu'à la maternité à Djugu May 13th 2012, 14:42 Crée le 13-05-2012-07h10 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le dimanche 13-05-2012 -16H45- AFRIQUE REDACTION PAR:RADIO OKAPI Nombre de femmes de la zone de santé de Bambu mines, en territoire de Djugu (Province Orientale) préfèrent plus accoucher à domicile chez de sages femmes ou des infirmiers proche de leurs habitations que dans les maternités. Le médecin chef de zone de santé de Bambu, le docteur Justin Mukonkole a fait ce constat, vendredi 11 mai, après analyse de la situation sur terrain.Le médecin chef de zone de santé de Bambu mines a expliqué que le faible taux d'accouchement à la maternité est du à la concurrence d'accoucheuses traditionnelles dans cette entité. «Le taux d'accouchement assisté est jusque là à 67% et il y a encore des accoucheuses traditionnelles qui œuvrent de manière clandestines. Il faut aussi noter le fait que certaines populations sont éloignées des centres de santé. Ca peut être l'une des raisons qui fait que ces femmes aillent auprès des matrones», a indiqué le docteur Justin Mukonkole. Des sources locales affirment que le choix des accoucheuses traditionnelles est du aux difficultés financières. Une de femme de cette contrée a témoigné à Radio Okapi: «A Bunia, comme il y a plein d'accoucheuses, on s'attend avec l'une d'elles à la maison à cinq dollars américains au lieu d'aller à la maternité où on doit débourser dix, quinze voire vingt dollars». Selon ces femmes, le paiement de ces sages-femmes se fait parfois en nature. | |
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