Monday, October 21, 2013

AFRIQUE REDACTION Site d'actualité africaine et internationale . Rédacteur en chef : BONGOS Roger: Dassault dévoile son nouveau Falcon

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Dassault dévoile son nouveau Falcon
Oct 22nd 2013, 06:46

Crée le 22-10-2013   07H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF : ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE.  Mis à jour le mardi 22-10-2013 - 07H10 PAR : ARTV NEWS Bruno Trevidic

Dassault Aviation a présenté au Salon de Las Vegas son nouveau jet d'affaires. Un modèle préparé en grand secret depuis 2007.

Le nouveau Falcon 5X dévoilé lundi dans la nuit à Las Vegas.
Le nouveau Falcon 5X dévoilé lundi dans la nuit à Las Vegas.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cinquante ans après le Mystère 20, qui avait séduit l'Amérique et donné naissance à la seule et unique famille de jets d'affaires européens, c'est une fois encore aux Etats-Unis que Dassault Aviation a choisi de présenter le futur modèle de la gamme Falcon. Préparé en grand secret depuis 2007 dans les bureaux d'études de Saint-Cloud sous le nom de code de SMS, le nouveau Falcon 5X – qui n'est encore qu'au stade de projet – a été dévoilé lundi après-midi à Las Vegas, en ouverture du salon de l'aviation d'affaires NBAA. Un évènement attendu de longue date par tous les acteurs du secteur, tant la réputation de Dassault n'est plus à faire en matière d'innovation et de rupture technologique.

En 2005, le lancement du 7X avait repoussé les limites sur le segment des appareils à très long rayon d'action (« ultra long range »), en introduisant notamment les commandes électroniques pilotées par ordinateur, directement issues de la technologie Rafale. Le Falcon 5X n'est encore qu'un avion de papier – son premier vol est prévu pour le premier semestre 2015 pour une entrée en service en 2017 – mais il ambitionne de faire de même sur le segment de marché inférieur des « long ranges » (long-courriers). «Nous mettons le long range aux standards des ultra long ranges, qui coûtent 20 à 25 millions de plus », affirme Olivier Villa, le directeur des avions civils de Dassault Aviation. Ce qui est déjà une première surprise. Contrairement à ce que son nom de code SMS laissait croire, le 5X ne se situera pas sur le segment du milieu de gamme (Super Mid Size), mais dans le segment supérieur « long range » des appareils, avec la capacité de parcourir sans escale jusqu'à 5200 miles nautiques (9630 km) avec huit passagers, pour un prix « de lancement » de 45 millions de dollars.

Outre les commandes électroniques, le 5X sera le premier jet d'affaires aux ailes dotées de flaperons (aérofreins), comme le Rafale, d'un système de vision nocturne dernier cri et d'un réservoir pressurisé (ce qui évite les problèmes de pompes et d'explosion). Autre curiosité exclusive : un hublot « zénithal», au plafond de l'appareil, à l'entrée de l'appareil. Mais le principal atout du 5X sera les dimensions de sa cabine, plus large (2,7 m de diamètre de fuselage pour 25,2 mètres de long) et donc plus confortable que celles de la concurrence et même que celle d'un 7X (2,5 m de diamètre), pourtant situé dans la catégorie supérieure. C'est l'argument-massue du 5X. Ce diamètre de fuselage était d'ailleurs un secret si bien gardé que même chez le motoriste Snecma, qui travaille avec Dassault sur le 5X depuis 2010, personne n'était dans la confidence. « Nous l'avons appris en même temps que la presse », assure-t-on chez Snecma.

Une économie globale de carburant de 50 %

Une surprise présentée comme « une manœuvre de déception », destinée à tromper la concurrence, mais qui correspond en fait à un changement de stratégie intervenu vers 2008. Alors que le projet initial était bien un appareil d'entrée de gamme, la crise de 2008 a, semble-t-il, incité l'avionneur à revoir sa copie, pour finalement accouché d'un modèle haut-de-gamme. Ce que reconnaît à demi-mot son PDg, Eric Trappier. « Les avions haut de gamme ont mieux résisté à la crise, explique-t-il. Mais cette montée en gamme correspond aussi à la mondialisation des affaires, qui exige des appareils à long rayon d'action ».

Selon l'étude de marché de référence réalisée par Honeywell, 70% des 10.000 jet d'affaires susceptibles d'être commandés sur les dix ans à venir, pour une valeur totale de 250 milliards de dollars, seront des long ou très long-courriers. Le cabinet d'études Amstat estime pour sa part le marché potentiel des long-range à quelques 8000 appareils sur les 20 prochaines années. Et si le segment supérieur de ce marché a déjà suscité plusieurs nouveaux programmes, celui des « long range » ciblé par le 5X n'a pas connu de nouveau modèle depuis dix ans. De plus, la concurrence y est limitée à deux modèles de Gulfstream : le G450, moins cher (30 millions de dollars), mais au rayon d'action plus limité et le GL5000, plus cher, plus ancien, plus lourd et plus gourmand en carburant. « Comparé à la concurrence, le 5X permettra une économie de carburant de 50% », assure Olivier Villa. Un gain de consommation obtenu en grande partie grâce à l'adoption d'un nouveau moteur – le Silvercrest de Safran-Snecma - qui marquera également la première incursion du motoriste français sur le marché de l'aviation d'affaires. Mais pas seulement. Bien que plus spacieux, le 5X sera nettement plus léger et plu saérodynamique que ses concurrents américains conçus dans les années 80.

Cela suffira-t-il pour relancer un marché de l'aviation d'affaires, encore convalescent après quatre ans de crise, et rentabiliser rapidement un investissement d'environ 1 milliard d'euros entièrement financé sur fonds propres ? Le niveau des prises de commandes au salon de Las Vegas sera une première indication de l'appétit du marché. Le succès remporté par le 7X malgré la crise (200 commandes à fin septembre) incite toutefois à l'optimisme. « Nous sommes très confiants, affirme Olivier Villa. Tous les Falcon se sont vendus à plus de 500 exemplaires. Et le 2000 et le 900, commandés à 495 exemplaires chacun, ont encore dix ans devant eux ».

En images  :

50 ans de Falcon

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