Monday, June 24, 2013

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PROCES DENIS LESSIE: Auditionné, la partie civile Jean Baptiste Ntahwa recadre les faits
Jun 24th 2013, 10:55

Crée le 24-06-2013 11H30 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le lundi 24-06-2013 - 12H40PAR : CONGO NEWS

 



Enfin, Jean Baptiste Ntahwa sort de son silence depuis que cette affaire a commencée. Il a parlé devant le tribunal militaire qui juge le pasteur Denis Lessie (qui se faisait passer pour le conseiller spirituel du chef de l'Etat) et ses co-accusés (dont l'un a joué le rôle du petit frère du chef de l'Etat). Ces prévenus sont poursuivis pour notamment, avoir escroqué cet ex-ministre du budget des sommes d'argents et un véhicule. Au motif, d'après l'acte d'accusation du ministère public, d'avoir fait croire à Ntahwa de pouvoir lui obtenir la réconciliation sur un conflit qui existerait entre lui et Janet Kabila. Lequel conflit, note l'acte judiciaire, était inventé par eux-mêmes (ces prévenus).
Alors que l'audience du 13 juin dernier, était consacrée à l'audition des prévenus, celle d'hier 20 juin a consisté pour le juge, de recevoir l'audition de Ntahwa, qui s'est constitué partie civile (victime d'une infraction dans un procès pénal qui vient solliciter réparation) dans ce procès. Contrairement, aux prévenus qui, se sont l'un à l'autre, distingués par des contradictions et incohérences dans leur audition, la partie Ntahwa est restée précise, objective voire convaincante premièrement dans sa narration des faits puis aux questions pertinentes, lui posait par les membres du tribunal. A la question de savoir ce à quoi, il s'attendait, lorsqu'il avait accepté de remettre ces sommes d'argent ? «Ce que j'attendais, c'est de faire la paix avec la famille du chef de l'Etat, pas autre chose…».
Le tribunal a également posé à Ntahwa, le pourquoi, il n'a pas pu vérifier auprès de la soeur jumelle du chef de l'Etat ? Premièrement, répond-t-il, qu'il avait confiance du prévenu adjudant Kasongo wa Ngoy, élément de la garde républicaine (celui-ci opérait sous un faux nom de Bisimwa qui se faisait passer pour un capitaine dans cette entreprise criminelle), qu'il considérait depuis 2011 comme son jeune frère de la même contrée tribale. Deuxièmement, parce qu'il était en face de celui qu'il lui a été présenté, comme le petit frère du chef de l'Etat. Devant cette réalité, il lui était difficile, explique-t-il, dans la mesure où, a-t-il estimé, si Janet Kabila voulait s'adresser à lui, elle le ferait directement. Etant donné qu'elle serait passée par le canal des tiers, notamment, son «petit frère », il avait trouvé inopportun de procéder à une telle vérification. (Ci-dessous, l'audition intégrale de la partie civile).

Le tribunal : Ici dans cette affaire, vous avez été identifié par le ministère public comme victime des faits qu'il reproche aux prévenus et le tribunal voudrait à ce jour, vous entendre dans vos déclarations, vous avez la parole.
«Monsieur le président, monsieur le juge, monsieur les assesseurs, monsieur l'organe de la loi, je vous remercie pour l'opportunité que vous m'offrez de pouvoir relater les faits qui s'étaient déroulés. Parce qu'une presse qui n'avait aucune information manipulée par des politiciens a présentée mon image d'une façon médiocre qui présente pas ce que je suis. Monsieur le président, vous permettrez que je puisse appeler les prévenus par les noms et la qualité avec laquelle, ils avaient opérés, pour ne pas dénaturer mon propos.
Merci monsieur le président, parce que, c'est cela qui va faire comprendre la chose. J'ai connu en début 2011, le capitaine Bisimwa, il s'était présenté à mon cabinet, avec un autre collègue à lui, de garde républicaine. Ils avaient des cas des dossiers soins médicaux. Ils sont venus au cabinet pour demander de voir le ministre pour lui demander de décanter la situation pour leurs dossiers. Vu que c'était les dossiers de la présidence de la République, généralement, le dossier de la présidence, l'armée, le parlement, le gouvernement, leurs dossiers avec célérité. J'ai instruit à mes services que leurs dossiers soient traités en priorités. Ce qui a été fait, ils ont été servis et partis en inde. Je crois qu'un mois et demi après, nous sommes toujours en début 2011, sans préjudice de date certaine, vers février, je vais recevoir une demande d'audience de la part du garde républicaine qui était dans le dossier médical pour le départ de l'Inde. J'ai dit qu'il n'y a pas de problème. Je l'ai reçu, il m'a salué, il m'a dit que c'est moi le capitaine Bisimwa que vous avez aidé la fois passée, pour aller aux soins médicaux en Inde. Je lui ai dit effectivement, je me souviens de ce cas. Il me dira qu'il est venu me dire merci, dans la mesure où, leur situation était sérieuse. Heureusement, me dit-il, vous avez intervenu efficacement. Je lui ai dit qu'il n'y avait pas de problème, puis nous avons échangé des numéros. Et puis il s'en alla. Vous comprendrez monsieur le président, qu'il a utilisé le nom de Bisimwa, parce que le nom Bisimwa, c'est un nom de ma tribu. Donc, je crois qu'il a voulu jouer sur la corde tribale pour m'approcher. Vous comprendrez également, qu'il a utilisé son grade de capitaine, peut être, pensait-il, si je savais qu'il était adjudant, je n'allais pas eu à faire attention à lui. A partir de ce jour là, on a commencé à plusieurs fois à se communiquer au téléphone. Puis, il a commencé à venir me visiter à la maison, et je le recevais comme un petit de chez nous. Il est venu plusieurs fois, jusqu'à ce que je le considérais désormais comme un petit à moi. En son temps, il me demandait rien de spécial, et moi aussi, rien du tout. A l'instar du fait que je pourrais lui offrir les crédits téléphoniques. A mon bureau, il était devenu presque connu de tout le monde notamment, mes gardes. Et ils le respectaient, parce que mes gardes du corps sont des adjudants et lui étant capitaine. Chez moi à la maison, il venait plusieurs fois, il était bien accueilli. Bref, vous comprendrez qu'on s'est familiarisé avec lui pendant une année.
En mars 2012, il m'appelle, il me dit, Excellence, je voulais vous présenter un petit frère du chef de l'Etat. Je lui ai demandé comment il s'appelait, il me dit qu'il s'appelle Mulindwa. Je lui ait dit, il n'y a pas de problème. Il est venu me rencontrer pour me présenter le jeune frère du chef de l'Etat dont il m'avait parlé. Soit dit en passant, j'avais demandé à des tiers si le chef avait un petit qui s'appelait Mulindwa. On me confirmera que le chef avait un petit répondant à ce nom. Quand il est venu, j'ai regardé sa morphologie, il ressemblait réellement au chef, et il m'était présenté par quelqu'un que je connais depuis une année, sans m'avoir inquiété un jour. Lequel est de la garde républicaine, je ne pouvais pas imaginer qu'il peut me présenter un faux frère du chef de l'Etat. D'autant plus que je ne voyais aucun danger à avoir contact avec une personne, en plus. Je les ai reçus à mon bureau, il m'a présenté que c'est lui Mulindwa. Cette fois ci aussi, on va échanger des numéros de téléphones. Je lui ai dit de toutes les façons, c'est une relation en plus dans la vie, une richesse. Puis, ils vont partir. Je voulais préciser qu'à chaque fois que Mulindwa venait, il était toujours avec le capitaine Bisimwa qui se disait son garde du corps. Mieux, le chauffeur de la famille du chef de l'Etat.
Denis Lessie entre en jeux
Au début du mois d'avril, Denis Lessie m'appelle, il m'a dit il faut qu'on se voie, parce qu'il y a un dossier de l'Eglise qu'on doit traiter. Je lui ai dit, moi je vous ne reçois pas. Parce que depuis, j'ai décidé de ne plus collaboré avec vous. En effet, on s'était connu avec Denis Lessie en 2009. On avait avec d'autres pasteurs, constitué une plate forme dont j'étais partie prenante. Mais quelques temps après, on ne se fréquentait plus, pour m'avoir fait du chantage à la télévision. Comme quoi, j'aurait refusé de signer un dossier d'une fille accidentée qui, serait même morte, à la suite de ma non assistance (ce qui n'était pas vrai, la fille en question est en vie, elle a même assisté à l'audience d'hier). A la suite de ces allégations, j'avais décidé de quitter cette plate forme. Denis Lessie avait tellement insisté, jusqu'à ce que j'ai fini par céder. Il est venu me demander pardon, ce que j'avais fait. Puis, il me fera savoir qu'il y avait une réunion des pasteurs avec le pasteur Théodore Mugalu et qu'il voulait que je sois leur représentant à cette occasion. Je lui dirais qu'il n'y a pas de problèmes. Il me dira à la même occasion qu'il faillait une collation pour le collectif des pasteurs qui travaillaient pour la réunion en question. Je lui remettrais 2.100 dollars pour ce faire. Après cela, il ne fera plus voir. Le lendemain du remaniement ministériel, Mulindwa est venu me voir, pour me dire qu'il a eu interaction avec son grand frère (le chef de l'Etat) pour lui demander comment est ce que vous n'avez pas été retenu au gouvernement. Pour cela, je lui dirais que moi je suis un homme de Dieu, ce qui m'arrive, c'est la volonté de Dieu. Il me dira que le chef de l'Etat lui avait qu'il y avait un problème dans votre parti : il y a eu des tripotages des listes. C'est pour cela, lui dira-t-il, qu'il (le chef de l'Etat) ne pouvait pas s'ingérer dans les affaires du parti. Effectivement, ce qu'il avait dit, c'est vrai. Il y a eu un tripotage dans ce sens là, et ceux qui sont du parti le savent. Au finish, je lui ai dit que la vie continuait.
Vers fin mai ou début juin, Denis Lessie m'appelle, il me dit tu sais qu'on m'a nommé conseiller spirituel du chef de l'Etat? Je lui ai non, il me dira qu'ils sont d'ailleurs, une équipe de quatre personnes. Il viendra même un jour me voir avec un véhicule de la présidence, une façon de confirmer ses nouvelles fonctions. Intérieurement, je me dis que Denis Lessie, il aime un peu d'influence, je vais vérifier. Etant donné que ces genres des postes sont souvent attribués sans un acte juridique, j'ai souhaité ne pas poser la question au directeur de cabinet du chef de l'Etat. Mais je vais quand même demander à Mulindwa et Bisimwa. Ce dernier me dira que je le vois très souvent avec le chef de l'Etat et qu'ils font à tout moment des prières. Et qu'il était possible, va-t-il me confirmer. Mulindwa me dira à son tour qu'il voit aussi Denis Lessie avec le chef de l'Etat et que c'est possible. Quelques temps après, Mulindwa est venu me voir pour me dire qu'il doit aller en France pour poursuivre les études, sur décision de son grand frère, donc le chef de l'Etat. Il me dira que si je pouvais lui renforcer en argent de poche qui est un peu insuffisante.

Je lui dirais que moi aussi je n'ai plus de salaire mais je vais essayer de te dépanner. Je lui ai dit de m'envoyer le capitaine Bisimwa à qui je vais remettre 10.000 dollars pour lui remettre. (Et devant le ministère public, Bisimwa avait reconnu avoir perçu cet argent et remis que 2.500 dollars à Mulindwa). Puis, il va soit disant voyager. Pendant ce temps, nous continuons à communiquer avec le capitaine Bisimwa et je ne pouvais savoir qu'il y aurait un lieu entre les trois. Puis quelques temps après, les deux, Bisimwa et Mulindwa sont venus me voir pour demander si j'avais un problème avec la soeur Janet Kabila. Je lui ai dit, je sais que nous sommes en bon terme. Mulindwa me dit que sa soeur lui dira qu'il ne me supportait pas. Et que quand j'étais ministre de budget, j'avais bloqué son dossier et qu'elle avait raté l'argent. Je leur dit en tout cas, moi je signais les dossiers, non pas à la tête des clients mais tels qu'ils étaient examinés techniquement. Donc, je n'ai pas su qu'il y avait son dossier, présentez lui mes excuses et ils sont partis. Je crois 10 jours après Denis Lessie m'appelle, excellence, il faut que nous nous voyons. Il est venu, il me dit j'étais avec le chef, après notre prière, il (Joseph Kabila) m'a dit ton ami Ntahwa a un problème avec ma soeur Janet. Je lui demandé à propos de quoi, Densi Lessie me dira que quand j'étais ministre j'avais refusé de signer son dossier. Et que le chef de l'Etat lui dira de me dire, qu'il faut faire la paix avec sa soeur. Je n'ai pas dit à Denis Lessie que j'ai déjà entendu cela à travers les membres de famille du chef de l'Etat notamment, Mulindwa. Au finish, je lui dirais, qu'allais-je faire ? Dans la mesure où ce problème m'exposait dans la famille du chef de l'Etat. Il (Denis Lessie) me dira, quand je le verrais, je lui demanderais qu'est-ce qu'il faut faire. Après son départ, je vais appeler Bisimwa pour lui dire, effectivement, ce que vous m'avez dit à propos de la soeur Janet me vient d'être confirmé par Denis Lessie. Bisimwa me dira, certainement, la soeur Janet en avait parlé à Raïs. Puis Denis Lessie reviendra pour me dire que le chef de l'Etat lui a dit que ce dernier temps, sa soeur jumelle est entrain de lui demander une jeep de marque Hummer et que si ton ami (Ntahwa) peut la lui chercher, il ferait la paix. Je me suis poser la question, est-ce qu'elle manque de l'argent pour s'acheter une jeep ? Décidemment, je me suis dit comme c'est le chef qui suggère cette voie de solution, je dois chercher à faire la paix. Parce que je suis en bon terme avec la famille. En plus, je suis la majorité présidentielle, j'ai intérêt à chercher la paix. Je lui ai dit, la jeep peut coûter combien? Il me dira que 45.000 dollars. Je lui ai dit moi je n'ai pas l'argent, tout ce que je peux faire, c'est de donner 35.000 dollars. Il me dira d'abord, je peux donner cela comme avance. Ce qui a été fait. J'ai appelé capitaine Bisimwa, je lui ai dit, écoutes, pour l'affaire de la soeur Janet, je viens de donner 35.000 dollars à Denis Lessie pour aller acheter la jeep. Bisimwa me dira passes moi Denis Lessie. Il (Bisimwa) lui demandera, excellence t'a donné combien? Denis va lui confirmer le montant. Le lendemain, Denis Lessie revient avec une jeep hummer de couleur blanche, et me dit voilà la jeep que j'ai achetée. Et je lui ai dit va livrer pour que cette affaire soit mise fin. Le lendemain j'ai appelé Bisimwa pour lui demander si Denis Lessie va déposer ce véhicule. Effectivement, Bisimwa va m'appeler pour me dire que lui a montré une jeep et on lui a dit que c'est Denis Lessie. Bisimwa viendra le lendemain matin, même me montrer la photo de la jeep en question qu'il a prise la photo, d'à partir du parking de Janet où elle était garée. Effectivement, c'était la jeep que Denis Lessie est venue me montrer. Dix jours après, Denis Lessie m'appelle pour me dire il faut que nous nous voyons urgemment. Il vient, il me dit, moi je viens d'être avec le chef, il m'a dit comment ton ami ne peux pas agir comme africain. Et qu'en Afrique, quand on donne quelque chose à un jumeau, il faut donner symboliquement quelque chose à l'autre. Je lui ai dit, lui il est chef, qu'est ce qu'on peut lui donner ? Est-ce un bouquet de fleur, ……? Il m'a dit qu'il va demander au chef de l'Etat et lui dira quoi. Il reviendra quelques jours pour me dire que ce dernier temps, le chef voulait avoir une jeep audit pour circuler incognito le soir. Il me dira qu'il faut 70.000 dollars pour cet audit. Je lui dirais que je n'ai pas cette somme et lui propose de vendre ma jeep qui était encore neuve afin d'acheter l'audit en question. Ce comme cela que nous lui ferons un acte de cession pour lui permettre d'en vendre afin d'en acheter une autre pour le chef de l'Etat. Deux jours après, il me dira qu'il a livré la jeep, mais il n'a pas eu le temps de me le montrer. Je vais demander à Bisimwa de vérifier si la jeep est parvenue au chef, il va me le confirmer. Quelques mois, après, soit en octobre, c'est Mulindwa qui viendra me voir, après qu'il soit de retour de la France et il me dira que cette fois le chef de l'Etat a décidé que vous allez voir la maman (maman Sifa) à Lubumbashi, parce que, dit-il, vous êtes devenu comme membre de notre famille. J'ai dit il y a pas de problème. Je demande à Bisimwa, toi tu es mon petit, on doit avoir la maman, qu'est ce que je peux faire? Il me dit comme elle est dans les fermes, si tu peux avoir un tracteur, une camionnette, cela peut symboliquement représenter quelque chose. Puis Bisimwa me dira qu'il est partie à Lubumbashi en mission. A partir de Lubumbashi, il me dira qu'il a trouvé quelqu'un qui vend cette camionnette à 17.500 dollars. Quelques jours après, Mulindwa est venu me dire que le chef de l'Etat a décidé que vous n'alliez plus à Lubumbashi…. ».
Et Lessie verra Ntahwa pour lui dire qu'il partait à Lubumbashi. Raison pour laquelle, Ntahwa qui ne pouvait partir à Lubumbashi, lui (Denis Lessie) donnera ces 17.500 dollars pour voir Bisimwa afin d'acheter la camionnette et en remettre à maman Sifa.

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