Tuesday, March 5, 2013

AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger: France/Turquie, impliquées, dans le projet d’assassinat d’Assad ?

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France/Turquie, impliquées, dans le projet d'assassinat d'Assad ?
Mar 5th 2013, 22:59

 

Crée le 06-03-2013 00H01 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mercredi  06-03-2013 -00H01PAR : ARTV NEWS

Hollande&Herdogan 

 

IRIB- L'agence de presse libanaise « Assiya » est, désormais, en possession du droit de diffusion des extraits d'un documentaire, « Les Guerres des services  du renseignement, en Syrie ».


Le documentaire met en scène les aveux des mercenaires chargés, par la Turquie et la France, d'assassiner le Président Assad :

« Les services secrets syriens ont déjoué un projet d'attentat contre la vie du Président Assad et de son ministre des A.E Walid al-Mouallem. Le renseignement syrien s'est mis à surveiller, il y a six mois, la France et la Turquie, qui, déçus par leur incapacité à provoquer une chute du régiome Assad, ont décidé d'éliminer, physiquement, le président syrien. Une cellule d'opération a été très vite mise en place. Le travail, au sein de cette cellule, croisait, souvent, celui fourni par les services de renseignement saoudiens, qataris et américains. ….Les français et les Turcs ont, donc, tenté de recruter les fonctionnaires du ministère des A.E ou ceux du palais présidentiel. La Turquie avait, diablement, envie d'impliquer la France, dans ce projet d'assassinat, puisque les Français ont de très bonnes relations avec les partis kurdes, et qu'en France, les kurdes ne risquent, en général, ni la poursuite judiciaire, ni la détention. …Les Turcs ont, ainsi, et via les Français, réussi à identifier des employés kurdes du palais présidentiel. Les agents turcs se sont présentés, ensuite, au régime syrien, comme représentants d'un parti kurde pro-Assad, et ont même réussi, via une société de nettoyage, à pénétrer, dans le siège du Premier ministre, dans le palais présidentiel et au sein du ministère des A.E. Le principal agent kurde de la France et de la Turquie, un certain Abou Kordo, a réussi à faire des photos du bureau de Walid Mouallem, via une petite caméra cachée dans sa poche ….La seconde étape consistait à faire entrer de la matière explosive, dans le palais d'Assad, et dans le ministère des A.E ….. Le plan a échoué, après l'intervention des agents de sécurité syriens, qui affirment n'en être pas à leur première opération : la France et la Turquie ont tenté, jusqu'à présent, et à plusieurs reprises, d'éliminer Assad et ses ministres. Mais ce qui étonne, surtout, les services secrets d'Assad, c'est l'insistance de Paris à entrer en contact avec le renseignement syrien et à obtenir des informations, sur le compte des éléments salafistes actifs, en Syrie et en France!!!

 

Syrie : Le président Bachar al-Assad « participera » à l'élection présidentielle de 2014

IRIB-Bachar al-Assad « participera » à la prochaine élection présidentielle en Syrie prévue en 2014,

a affirmé samedi à Téhéran le chef de la diplomatie iranienne Ali Akbar Salehi, dont le pays est un allié du régime syrien. « Le président Assad, comme d'autres, participera à la prochaine élection, et le peuple syrien élira qui il veut » comme président, a-t-il déclaré dans une conférence de presse avec son homologue syrien Walid Mouallem, après avoir dit que M. Assad resterait au pouvoir jusqu'en 2014 malgré les appels des Occidentaux et de pays arabes alliés de l'OTAN à son départ « pour régler le conflit en Syrie ».

« L'Iran, l'allié régional de la Syrie, a donné samedi un coup de pouce à Bachar al-Assad en le présentant comme le président légitime et annonçant sa participation à l'élection présidentielle de 2014 qui devrait être pluraliste », commente l'AFP.
Le chef de la diplomatie iranienne Ali Akbar Salehi a en outre répété la position officielle de l'Iran: « M. Assad demeurera le président légitime jusqu'à la prochaine présidentielle ».

Le ministre iranien s'exprimait en présence de son homologue syrien Walid Mouallem, arrivé samedi à Téhéran, six jours après une visite à Moscou, l'autre allié du régime syrien.
« La crise syrienne n'a pas de solution militaire et la seule solution est un dialogue entre le pouvoir et l'opposition », a encore souligné M. Salehi. Toutefois, selon lui, « personne ne peut demander au pouvoir syrien d'abandonner les armes », car il « n'a pas d'autre choix que de combattre les mercenaires pour rétablir le calme ».
Le président Assas de son côté affirme que ses troupes « continueront le combat jusqu'à venir à bout des rebelles », qu'il assimile à des « terroristes ».

Ces déclarations interviennent au moment où l'Armée arabe syrienne vient de porter un coup dur à l'ASL. Sur le terrain, l'armée a en effet réussi à ouvrir un axe vers l'aéroport d'Alep (nord), brisant l'encerclement imposé par les rebelles et permettant d'acheminer armes et renforts dont les soldats en poste dans la seconde ville du pays ont cruellement besoin.

Depuis la prise de pouvoir révolutionnaire par le parti Ba'ath en 1963 et le processus dit « de redressement » instauré par le président précédent Affez El Assad en 1970, les Syriens devaient approuver tous les sept ans un candidat unique présenté par le Conseil de Commandement de la Révolution et approuvé par le « Front National progressiste » (alliance de partis socialistes, nationalistes et communistes autour du Ba'ath, la Syrie n'a pas un régime de parti unique). Les réformes introduites par le président Assad prévoient maintenant une élection pluraliste.

Luc Michelle

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