Tuesday, February 19, 2013

AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger: La vengeance au visage du SIDA, dans la communauté Congolaise ! Distribuons parce que j'ai été aussi victime d'une injustice de la vie !

AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l'actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l'actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
portail sur l'actualité africaine,Afrique,actu, Actualité de l'Afrique et de la RDC,de l'Afrique et du Maghreb offre un journal quotidien contenant des informations sur l'actualité, la culture, l'économie, le sport, les sociétés de 56 pays africains, Congo actualités, jobs, emploi, sport, musique, culture, afrique, kinshasa , Kabila , Mobutu , tshisekedi, werrason, coopération , République Démocratique du Congo,opposition,résistance,alliance,mouvement associatif, économie,
La vengeance au visage du SIDA, dans la communauté Congolaise ! Distribuons parce que j'ai été aussi victime d'une injustice de la vie !
Feb 19th 2013, 14:41

Crée le 19-02-2013 09H20 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 19-02-2013 -09H40 PAR: ARTV NEWS

LE-SIDA-DANS-DIASPORA-CONGOLAISE.jpg
Celui ou celle par un concours de circonstances malheureuses, dans une aventure des jambes en air attrape la maladie du siècle, s'en pend au monde entier et à vouloir le refiler coûte que coûte au premier malheureux qui oserait approcher la belle dame ou le bel homme.

Beau par son physique, par son argent, et souvent laid dans sa conscience ! Belle par sa beauté et souvent aussi par ses attraits financiers mais diablesse dans ses agissements veulent se venger, en se disant pourquoi moi ?

La vengeance au sein de la communauté Congolaise pend des dimensions les plus alarmantes qui friserait la correctionnelle (tribunaux) ou la cour d'assise pour empoisonnement prémédité. Mais, ils se moquent de la répercussion encourues pour ces faits d'une gravité absolue. Ils sont parmi nous ! Meconnaissables de leur statut social, en bonne santé visible et qu'on donnerait au bon Dieu sans confession ! Mes des redoutables prédateurs ?

S'ils venaient à rendre l'âme, a-t-on droit d'aller accompagnés ces criminels dans leurs dernières demeures, de leurs rendre hommage ? A-t-on droit aussi de fermer sa gueule face à des telles personnes ?

Quand vous analysez leurs raisonnements, ils déclinent souvent en ces termes : Je n'ai rien demandé à personne et je me retrouve avec des galles et zona sur ma peau, il faudra que les autres en payent le prix. Le prix de la grande souffrance que j'endure et celle de la mort ! Je ne partirai pas seul...

La même personnelle criminelle, se trouvera dans des églises de réveils fervente pour implorer la guérison auprès de son seigneur ! On croirait à un scénario sorti d'un film d'horreur à la sauce Africaine, plus particulièrement à la celle de la communauté Congolaise.

Les multiples faits divers nous rappellent tous qu'il faut être aux aguets pour n'est pas tomber dans les travers de cette haine qui envahit ceux ou celles qui ont subis le sort du Sida, la séropositivité !

Ça s'est passé en France ! Trois ans de prison pour avoir transmis le Sida. Un arrêt sévère de la Cour d'appel d'Aix-en-Provence, car incarcérer pour trois ans un séropositif sous traitement est une épreuve, mais cette décision confirme l'instauration d'une jurisprudence.

Les faits remontent aux années 1998 et 1999. Une histoire se noue entre un homme et une femme. Ils ont 27 et 26 ans. Lui, avec un passé de toxicomane, est séropositif et sous traitement. Mais il ne dit rien à sa compagne.

Oui, il a goûté la cocaïne, mais il ne s'est jamais piqué, et des tests récents sont négatifs. Dans les premiers temps, la femme exige le préservatif, puis la relation s'installe, et devant le comportement confiant et insistant de son compagnon, elle finit par renoncer. Dix mois plus tard, en avril 1999, elle découvre qu'elle est séropositive, que son compagnon est soigné depuis six ans et que toute la famille est au courant.


J'en ai moi même était surpris d'une conversation entre deux femmes congolais dans le métro parisien, qu'une sans vergogne disait à sa copine, je cite : Si j'apprends que j'ai le Sida que je n'ai jamais cherché, je pourrai aussi le distribuer même en donnant l'argent aux hommes pour me « baiser ». Cette posture adoptée par cette quidam qui m'avait glacé le sans, n'est pas isolée malheureusement.

Dans le milieu Africain, la morale qui consiste à accepter cette fatalité ne passe pas du tout, elle est détournée par une attitude revancharde. Nako kaba yango lokola lipa « je le distribuerai comme du pain ».

Et cela confirme la proportion grandissante de cette maladie dans la communauté Africaine et celle du Congo. Une bombe à retardement dans la diaspora. Une distribution à un système étoile : Une petite distribue à un tonton, le tonton, distribue à sa femme et la sa femme à son petit copain.

Et le petit copain donne à la fille du tonton, la fille du tonton refile à son copain, la bouclé est bouclée. Le drame est plus palpable, quand la situation se passe dans une petite ville, au bout d'une petite période, toute la communauté est atteinte.

Et quand tout ce petit monde s'en apercevront de leurs petits meurtres en sursis entre amis. La machine infernale des règlement des comptes se mettent en branle.

Et les commérages vont bon train, en accusant à tours de bras, les uns et les autres. Comme tout le monde couche avec tout le monde, le désastre se voit par rapport à leurs détresses respectifs. ( La zone est minée)...

On chercherait à tout prix de coucher avec la fille de celui qui t'a filé la vérole, sa tante, sa nièce, sa sœur, sa cousine, une vraie chaîne. On traverse les villes pour aller chercher ses futures victimes dans des villes voisines. Jusqu'à ce que, cette calamité tombe sur sa propre mère ! Ainsi va la vie.

Très peu, conscients de leurs graves maladies, acceptent et se résignent à prendre la trithérapie qui a fait des progrès en arrêtant toute relation à risque.

D'autres insouciants et sciemment inconscients, en suivant le traitement, sur l'arrêt du développement de cette maladie, étant en bonne santé visible, seulement visible, trompent la vigilance des certaines personnes, et distribuent cette saloperie à souhait...

La presse rappelle à l'ordre ces criminels que contaminer quelqu'un en toute connaissance de cause est toujours u délit devant les tribunaux et surtout devant sa conscience

La Cour de cassation a rendu un arrêt, le cinq octobre dernier, qui assoit confortablement sa jurisprudence sur le régime de la sanction qu'encourt la personne atteinte du virus du VIH qui a des relations sexuelles non protégées. Cette décision a été rendue sur des faits malheureusement simples.

 

Une femme fait ouvrir une information judiciaire après que son compagnon lui a délibérément transmis le VIH au cours de relations sexuelles non protégées.

 

Ce dernier est, à l'issue de l'instruction, renvoyé devant le Tribunal correctionnel pour administration de substance nuisible ayant entraîné une infirmité permanente.
A cette occasion, plusieurs questions se posent.

 

La première, pourquoi n'est-ce pas un empoisonnement et donc un crime puni de trente ans de réclusion ?

 

Notre Cour de cassation a toujours retenu que le virus du sida n'est pas mortel per se mais est une « substance nuisible » qui provoque une infirmité permanente de la personne contaminée, en raison de son caractère incurable.

 

L'opinion publique, on s'en souvient, et certains hommes politiques avaient hurlé contre cette vision judiciaire d'un virus du sida qui ne serait pas de nature à donner la mort…alors que bon nombre de ses victimes en meurent.

 

Les juges français n'ont pas cédé et ont continué à appliquer une jurisprudence développée dans « l'affaire du sang contaminé », en estimant que ne sont établies ni la nature mortelle de la substance elle-même, ni l'intention de donner la mort.

 

S'il n'y a pas crime d'empoisonnement, y-a-t-il alors délit de violences ayant entraîné une infirmité permanente ?

 

C'est la deuxième question, sur laquelle les juges retiennent que le prévenu avait connaissance de sa contamination, suivait un traitement, n'en avait pas informé sa femme et était parfaitement conscient des risques de transmission et de la nécessité de n'avoir de rapports que protégés.

 

Les juges en déduisent que "en tout connaissance de cause, taisant sa séropositivité, il a volontairement fait courir à [sa compagne] un risque gravissime pour sa santé et sa vie".

 

Un arrêt du 10 janvier 2006 avait déjà condamné ce même type de comportement générant "une affection virale constituant une infirmité permanente".

 

La troisième, l'inoculation du virus entraîne t'elle une infirmité permanente ?
En l'état des données de la science, un doute est permis sur l'évolution de la séropositivité au virus du VIH, un futur antiviral n'est pas inenvisageable et ce doute pourrait faire perdre son caractère définitif à inoculation et donc disparaître l'infirmité permanente et donc le délit…

 

Le raisonnement judiciaire est séduisant mais les juges se basent sur l'état actuel des connaissances pour conclure au caractère irréversible de la contamination qui, « suivie d'une réplication du virus » nous disent-ils, « entraîne la destruction d'une très grande quantité de lymphocytes » et génère « une grave affection virale » provoquant « une atteinte définitive de l'ensemble de [l']organisme (…) constitutive d'une infirmité permanente au sens des dispositions de l'article 222-9 du code pénal."

 

Les rapports sexuels non protégés d'une personne consciente de sa séropositivité qui se garde d'en informer son partenaire qui est une personne « saine » et contracte le VIH restent donc un délit.

 

Et probablement pour quelques années encore…

Roger BONGOS

You are receiving this email because you subscribed to this feed at blogtrottr.com.

If you no longer wish to receive these emails, you can unsubscribe from this feed, or manage all your subscriptions

Related Posts by Categories



0 comments:

Post a Comment

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...