Tuesday, November 6, 2012

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«LA VERITE TIENT AU BOUT DU FIL» PGI Kalamu : Quand le magistrat TUM s'est fait gratifié de 2.000 $
Nov 6th 2012, 13:01

 

Crée le 06-11-2012 13h00 | AFRIQUE REDACTION | REDACTEUR EN CHEF ROGER BONGOS | SITE PANAFRICAIN |ACTUALITE NATIONALE, AFRICAINE ET INTERNATIONALE. Mis à jour le mardi 06-11-2012 - 13H25 PAR: CONGO NEWS

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La vérité tient au bout du fil, dit-on. Tout est connu, le magistrat Tuku Upumbu alias TUM du PGI Kalamu s'est fait récompensé de 2.000 dollars par un microcrédit qui, se trouve être plaignant dans un dossier qu'il a eu à instruire faisant l'objet d'un des articles de «CONGONEWS», intitulé : «Des moutons noirs détectés au PGI Kalamu, le procureur Etina déballe certains magistrats de son office», paru dans « CONGONEWS » du vendredi 19 octobre dernier. Cet Officier du ministère public (OMP) s'est fait gratifié pour les abus qu'il a perpétrés dans l'affaire qui a fait l'objet de l'article en question.

Dans une de ses éditions passées, «CONGONEWS» a fait état de manières cavalières dont le magistrat Tuku Upumbu (TUM) a instruit un dossier avec «prévenu», sans pour autant que son procureur, entendu Etina ne soit informé quant à ce ou qu'il n'ait signé un quelconque acte de procédure.
Nous l'avons dit, TUM avait une mission dans ce dossier qui a pour noms: arrêter par n'importe quel moyen cette inculpée, instruire le dossier en question de manière légale ou pas. Point barre.

Pactole

Ainsi, comme toute mission méritant un salaire, une prime ou un avantage, voilà qu'il a touché juste après l'instruction de ce dossier une somme de 2.000 dollars de la part de ce micro-crédit, en termes de «prêt». Faits prouvables et vérifiables. Il est clair que TUM
en instruisant ce dossier avait notamment, un intérêt ad futurum (futur) et un futur proche. Celui d'obtenir un «prêt» de la part de ce microcrédit. Obtenir un «prêt» n'est pas un problème. Mais ce «prêt» a été obtenu in temporé suspecto (en un temps suspect), dans une période qui couvre ses frasques dans l'instruction de ce dossier et il obtient auprès de qui ? Du plaignant.
Tenez, TUM ouvre son «numéro de compte» pour la première fois dans ce microcrédit le 8 octobre dernier et reçois son «prêt» de 2.000 dollars le 19 du même mois. Quel privilège ? Faits prouvables et vérifiables.

Pourtant, la procédure d'obtention d'un prêt, notamment celui dit «personnel» dans ce micro-crédit est assez longue, surtout lorsqu'il s'agit des sommes du genre. Il faut au préalable devenir membre, mieux ouvrir un compte. Puis, épargner dans son compte pendant au moins trois mois. En plus, il y a tout un circuit que le dossier doit suivre. Mais entre «l'ouverture du numéro de compte» par TUM et l'obtention de ce «prêt», il y a un intervalle d'au moins dix jours. Indice.
Ce qui est vrai, TUM s'est trouvé un pactole qu'est ce microcrédit, d'ailleurs, il devrait en principe obtenir 4.000 dollars qu'il avait demandés.

Etina prophète

Cette phrase est du procureur Etina lorsqu'il déballa TUM de ses frasques: « …il doit avoir un intérêt dans ce dossier… ». Etina avait tout simplement prophétisé. L'intérêt saute aux yeux. En lisant l'article passé, en lisant celui-ci qui illustre même sa photo, surtout cette photo, TUM doit quand même se réjouir, même intérieurement, en disant : «Mon pays le Congo possède quand même des bonnes presses d'investigations». Et parmi, il faut compter «CONGONEWS» qui, dispose encore autant d'informations, probantes sur des fonds obtenus par lui dans ce dossier. Sans compter d'autres informations...
Faute d'espace, cet article n'a pas pu être illustré par des fac-similés des bons de sortie de ces 2.000 dollars signés par lui.
En vérité, le comportement de TUM au PGI Kalamu se résume par le fait qu'il se dit avoir des para-pluies au niveau de la magistrature. Pour ce faire, il promet même la guerre à «CONGONEWS». Quant à nous, ce ne sont pas les munitions qui nous manquent.

Rétroactes

L'article «Des moutons noirs détectés au PGI Kalamu, le procureur Etina déballe certains magistrats de son office» dont l'extrait, démontre le dol avec lequel le magistrat TUM a agit dans l'instruction du dossier pour lequel il a été récompensé :
(…) Cet article est une photographie authentique de certains magistrats de ce parquet. Il a été rédigé à partir des faits impitoyables, immoraux vécus par l'auteur en témoin oculaire dans les couloirs de ce parquet pendant plus d'une semaine d'observation, de déclarations dûment sourcées, en premier, celles du procureur de la République du PGI Kalamu Etina faites directement aux familles des inculpés, en présence de l'auteur, devant témoins, en son cabinet. Lesquelles déclarations mettent à nue les comportements insensés de certains magistrats de ce parquet. Ainsi, pour «CONGONEWS», entre le silence face aux abus du pouvoir, au mépris de la loi et devoir d'informer, il y a une voie, celle du devoir de vérité. (…)
Les faits patents sont les frasques d'un magistrat atypique de ce parquet dont l'initial est TUM (le magistrat au parquet sont identifiés par des initiales). Tout ce parquet sait quelque chose de lui. TUM arrive à prendre des décisions que doit prendre le procureur, chef d'office bien qu'étant présent au cabinet et qui, en son absence, c'est le premier substitut le plus céans (d'après le règlement intérieur des parquets) qui est habilité à poser les actes qui engagent ce parquet. Et non un substitut qu'est TUM. Faits prouvables et vérifiables.
Les faits se déroulent entre le 27 septembre et le 5 octobre dernier où, dans un dossier «avec prévenu» que le procureur Etina se souviendra d'ailleurs, que ce magistrat (TUM) s'est permis d'instruire, d'envoyer l'inculpé alors sérieusement malade à la prison de Makala, de transférer le dossier en question au PGI Gombe pour raison de compétence territoriale, sans que son procureur n'en entre en connaissance (c'est-à-dire, sans qu'il ne voie la couleur que porte la farde de ce dossier), sans qu'il ne signe un quelconque acte de procédure quant à ce. Alors qu'il était présent au cabinet.

Sauf peut être un petit déplacement de deux ou trois heures qui interviendrait. Même s'il n'y serait pas présent, ce magistrat n'a fait avaliser son travail par aucun premier substitut qui ferait l'intérim du procureur. Décidemment, ce dossier est sorti comme il est entré, sans que le procureur ne le voie mais curieusement il (dossier) a été instruit. A supposer que le procureur serait absent au cabinet, mais TUM a tout de même passé outre tous les premiers substituts. Ce qui est grave et étonnant, TUM a envoyé cette inculpée à la prison centrale de Makala par un convoi spécial qu'il a supporté avec ses propres frais. Faits prouvables et vérifiables, le procureur Etina peut témoigner.
A la lecture de la lettre de transmission de ce dossier vers le PGI Gombe, nulle part ne figure la signature du procureur Etina, voire celle d'un de ses premiers substituts, dans l'hypothèse où il serait absent. On ne retrouve dans cette lettre rien que le nom du procureur et le sceau du tribunal. En clair, le magistrat a commis l'usurpation de pouvoir, en utilisant même frauduleusement le sceau du parquet. Un électron libre.
Malewa oui, cabinet rare. Nous sommes, le samedi 29 septembre dernier, quand la famille de l'inculpée est venue rencontrer le procureur afin de solliciter auprès de celui-ci, la mise en liberté provisoire de leur, arrêtée depuis le 27 du même mois, vue son état de santé, encore que sa fuite n'était pas à craindre, étant une mère d'enfant et ayant une adresse bien connue.
Le procureur qui n'avait jusque là vu le dossier, qui n'était au courant de rien va demander par le biais de son secrétaire que le magistrat instructeur, entendu TUM lui fasse le rapport pour qu'il s'imprègne du dossier avant de prendre toute décision possible.
L'aventure commence, le magistrat qui serait mis au parfum, sèche davantage son cabinet. Davantage, parce qu'il est réputé de n'être pas souvent au cabinet que dans des malewa (petit restaurant de basse classe) qui environnent ce parquet. (…) «Moi si je ne suis pas au bureau, je suis toujours à côté ici…», fit savoir TUM lui même le vendredi 28 septembre dernier à un membre de famille d'un justiciable. «A côté» dont il fait allusion, c'est le malewa. (…)

L'aventure se poursuit. Le secrétaire du procureur va faire des vas et vient dans le cabinet de ce magistrat pour parvenir le message, absent toujours. Mais lorsque l'on jette un coup d'oeil dans un des malewa de l'autre côté du parquet, il est là en permanence. Faits prouvables et vérifiables.

Usurpation avérée. (…) C'est pendant au moins 5 jours que ce magistrat séchera la permanence du son bureau. Lorsqu'il y vient, c'est pour cinq ou dix minutes. Pour preuves, son siège a souvent été occupé par d'autres magistrats.
Le 5e jour, soit le vendredi 5 octobre dernier, finalement, il est là, vers 13 heures, ainsi le secrétaire l'aura et lui présenta la note du procureur. Non, répondra-t-il au secrétaire, j'ai déjà transféré le dossier au PGI Gombe, je vais moi même expliquer au chef. Ce qui fut fait. (…) Mais au sortir du cabinet, c'est l'humeur de TUM qui changera, il boude. Peu après, le procureur va recevoir la famille de l'inculpée, en présente de l'auteur. (…)
Lorsque la famille se présenta, et le procureur prendra la parole pour manifester son indignation quant au comportement de certains magistrats de son office en l'occurrence TUM. «Je suis au regret de vous informer que le magistrat a déjà transféré le dossier au PGI Gombe, ce qui est grave, à mon insu», leur s'adressa-t-il avec beaucoup d'amertume. Et de poursuivre : «Vous savez même le fait qu'il ait transféré l'inculpée à la prison, c'était toujours à mon insu, voire la voiture qu'il a utilisé, ce n'est pas le parquet qui a sorti l'argent, parce que lorsque l'on veut transférer un inculpé, je dois signer ce transfèrement et ce moi qui ordonne la sortie des fonds pour la location du véhicule étant donné que nous n'avons pas un véhicule ici». (...)

Immoralité. En effet, le transfert de cette inculpée à la prison Makala, malgré son état de santé a tiqué plus d'une personne dans ce parquet qui, s'est posée sur l'opportunité de transférer dans un convoi spécial. Et c'est dans les environs de 7heures du matin, avant même que le procureur, ni les premiers substituts ne soient là. En clair, l'OMP TUM avait une mission dans ce dossier, laquelle dit son nom. (…)
Flou sur flou. TUM a bien prémédité sa mission. (…).
PATRICK MUKENDI

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