Monday, July 2, 2012

AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l’actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l’actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger: Situation confuse au secrétariat général de l’ESURS - Le Premier ministre et le ministre de la Fonction publique devant leurs responsabilités

AFRIQUE REDACTION . L'information en continu ! Afrique au cœur de l'actualité...Infos News sur la RDC, les brèves de la dernière minute. Synthèse sur l'actu internationale. rdcongo-kinshasa, Nord et Sud KIVU, Kinshasa, Bas Congo, Dongo, Equateur, Maniema, Lubumbashi, les deux Kasai. Rédacteur en Chef : BONGOS Roger
portail sur l'actualité africaine,Afrique,actu, Actualité de l'Afrique et de la RDC,de l'Afrique et du Maghreb offre un journal quotidien contenant des informations sur l'actualité, la culture, l'économie, le sport, les sociétés de 56 pays africains, Congo actualités, jobs, emploi, sport, musique, culture, afrique, kinshasa , Kabila , Mobutu , tshisekedi, werrason, coopération , République Démocratique du Congo,opposition,résistance,alliance,mouvement associatif, économie,
Situation confuse au secrétariat général de l'ESURS - Le Premier ministre et le ministre de la Fonction publique devant leurs responsabilités
Jul 2nd 2012, 16:03

 

Alula NyotaAlula Nyota

La réhabilitation de directeurs et d'autres cadres du secrétariat général du ministère de l'Enseignement supérieur et universitaire et de la Recherche scientifique (ESURS) suspendus à la suite d'une «action disciplinaire» pose problème. Cela après l'expiration de la durée de trois mois de suspension que les cadres incriminés ont jugé illégale.

Raison de cette suspension, leur refus de prendre part à une réunion convoquée par la secrétaire générale de ce ministère, Alula Lioke Nyota, pourtant permutée au secrétariat général du ministère du Genre, de la Famille et de l'Enfant afin d'occuper les mêmes fonctions. Permutation autorisée par le ministre sortant de la Fonction publique sur proposition de l'ancien ministre de l'ESU, Mashako Mamba, que la secrétaire Alula n'a pas acceptée.

En principe, c'est ce lundi 2 juillet que les suspendus doivent reprendre le travail, à leurs postes respectifs. Ils ont rencontré l'actuel ministre de l'ESU pour lui rappeler de lever la mesure de suspension qui a pris fin le 29 juin 2012. A en croire les intéressés, le ministre tergiverserait. Il a promis de «respecter la légalité» le 4 juillet. Pour ces fonctionnaires lésés, il s'agit d'une manœuvre dilatoire, l'intention serait leur révocation pure et simple de l'Administration publique.

En effet, cela se confirme, pensent-ils, par la méthode peu orthodoxe qu'aurait utilisée, vendredi 29 juin 2012, un des conseillers du ministre de l'ESURS en charge de l'Enseignement supérieur privé pour retirer de fonds consignés à la direction des services académiques par les Etablissements publics de Kinshasa et des provinces. Ce, en attendant l'envoi des diplômes à la commission ad hoc. Ce proche collaborateur du ministre aurait utilisé une lame de rasoir pour soutirer les fonds contenus dans un sac. Pour faire propre, il aurait signé une décharge. «Cela avec le concours de services de sécurité et de l'ordre public instrumentalisés parce qu'ils n'ont rien à voir avec l'organisation et le fonctionnement du ministère de l'Enseignement supérieur et universitaire et de la Recherche scientifique», déplorent les suspendus.

Ceux-ci notent également que «les agents et cadres du ministère qui s'en tiennent au respect de la légalité font l'objet d'intimidations». Et que, eux-mêmes sont sujets «à l'audition et à la verbalisation auprès de la brigade criminelle».

Qu'à cela ne tienne, le Premier ministre, que la partie lésée a déjà rencontré, et le ministre de la Fonction publique sont invités à clarifier la situation au sein du secrétariat général de l'ESURS pour calmer les esprits en restaurant la «paix». Au risque de voir le travail de l'administratif en pâtir avec toutes les conséquences que cela entraîne. Projet Makala : explication sur le contexte de son intervention

Rossyl Martin Mbuyamba (Télé 7)

Le projet Makala, initié par l'Union européenne en 2009 pour gérer durablement la ressource bois énergie, a été au centre d'un atelier organisé, le jeudi 28 juin 2012, en la salle de conférences de Venus Hôtel, en collaboration avec le ministère de l'Environnement, Conservation de la Nature et Tourisme, Il était question, au cours de cette rencontre, d'expliquer le contexte d'intervention de ce projet ; partager l'approche développée et présenter les différents résultats déjà obtenus.

Les participants venus du ministère de l'Environnement, Conservation de la nature et Tourisme ainsi que d'autres ministères et établissements publics concernés par la thématique bois-énergie ont échangé avec les intervenants, dont Jean- Noel Marien, chef du Projet Makala et Emilien Dubiez, chargé du projet et autres. La première session qui a défini la place du bois-énergie dans la politique forestière de la RDC, a également présenté la genèse du projet Makala en lien avec ses problématiques. La deuxième s'est penchée sur les réalisations du projet avec les résultats de la filière bois-énergie à Kinshasa et à Kisangani. Il fallait, pour la troisième session, parler de l'évolution du concept des plantations agroforesteries et les réalisations du projet dans ce domaine et la gestion des terroirs villageois. La dernière session a abordé les perspectives du bois-énergie et les questions posées autour de la gestion de cette ressource, la place du bois-énergie dans les changements climatiques et le processus REDD.

En effet, la République démocratique du Congo possède 155 millions m2 de forêts, ce qui fait d'elle le premier pays forestier d'Afrique centrale. Les besoins annuels en bois-énergie de Kinshasa sont de 4,7 millions de m3 de bois. Le taux de déforestation dans le bassin d'approvisionnement en bois-énergie de cette ville a été estimé à 0,7% par année, supérieur au taux de déforestation moyen à l'échelle du pays. Le bois-énergie, couplé avec l'agriculture sur brûlis, ne constitue pas la première cause de dégradation des écosystèmes forestiers d'Afrique centrale et de la RDC.

Conscient de cet état de choses, le gouvernement de la RDC entend mettre en place une politique active de projets et financements novateurs destinés à contrer les effets indésirables des changements climatiques au travers une gestion durable des forêts. Au regard de cette problématique, le Projet Makala, fruit du partenariat entre le gouvernement congolais et l'Union européenne, devait sécuriser l'approvisionnement en bois-énergie des villes de Kinshasa et de Kisangani en proposant des itinéraires techniques de reconstitution innovants. Par conséquent, différentes activités ont été menées dans le cadre du projet UE-Makala dont l'identification des flux de la filière bois-énergie, l'actualisation de permis et taxes liés au secteur bois-énergie à Kinshasa.

You are receiving this email because you subscribed to this feed at blogtrottr.com.

If you no longer wish to receive these emails, you can unsubscribe from this feed, or manage all your subscriptions

Related Posts by Categories



0 comments:

Post a Comment

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...